Info bière – Saint-Lô. Son comportement autodestructeur le conduit en prison – Bière brune

Publié le 15 juin 2020 par Cafesecret

Cinq cas différents d'outrage, de rébellion, de menaces de mort par coups de couteau et dégradants ont amené un homme, 28 ans, de Saint-Lô, au tribunal correctionnel de Coutances le 9 juin 2020.

Quatre cas d'outrage à l'autorité publique, de rébellions, de menaces de mort et de possession d'une arme froide amènent Nicolas Harel, 28 ans, de Saint-Lô, à comparaître le 9 juin 2020, au tribunal correctionnel de Coutances.

Un accusé autodestructeur

Les premiers faits remontent au 22 juillet 2019, à 15 h, lorsque des policiers municipaux approchent l'intimé qui boit de la bière devant la station Saint-Lô. Pour faire respecter l'interdiction de la consommation d'alcool, ils lui demandent de jeter sa canette dans une poubelle. Par provocation, il s'exécute, mais jette devant le récipient dans un parterre de fleurs. Il s'en est suivi une volée d'insultes granuleuses à l'encontre des officiels mais aussi du tribunal devant lequel son attitude pourrait l'envoyer. Interrogé par le juge, l'accusé a déclaré: "Je n'ai rien à dire, dépêche-toi et retourne dans ma cellule pour me tuerLa deuxième "rencontre" entre la police et l'intimé a eu lieu rue JF Kennedy à Saint-Lô, domicile de la concubine de ce dernier. Après une tentative d'évasion, les autorités l'ont attrapé et l'ont découvert portant un couteau avec une encoche de prise, et sous la forte influence de l'alcool. Une fois arrêté, il a frappé sur le véhicule de police. juge, il répond: " Ça m'ennuie L'appartement de la rue Kennedy est toujours le lieu d'intervention de la police le 5 octobre 2019. Les fonctionnaires sont appelés à l'enlèvement. Sur place, ils découvrent son ex-partenaire hystérique qui leur raconte que l'accusé a jugé. Au troisième étage, l'intimé gît par terre, inerte. À l'intervention des pompiers, il s'anime et devient violent au point que deux policiers doivent monter dans l'ambulance pour protéger les pompiers là où les insultes pleuvent. Même situation à l'hôpital où l'individu va jusqu'à dégrader les ordinateurs. Le dernier épisode se déroule au commissariat de Saint-Lô lui-même, lorsque l'accusé se présente complètement alcoolisé le 12 octobre 2019, à 12 h 50. Se faisant passer pour menacé, il entre dans le hall d'entrée où il dégrade une table basse et frappe sur les murs. La patrouille de police a du mal à contrôler l'individu sous les insultes et les menaces de mort. Trois interventions ont déjà été réalisées. place autour de lui a Pendant la soirée, pour l'agitation nocturne! Le procureur, qui se réfère à quatre condamnations antérieures pour des actes similaires pour ce délinquant habituel bénéficiant de l'assistance sociale, exige un an de détention avec mandat. Condamnation à laquelle Nicolas Harel est condamné. Il est interdit de porter une arme sur deux ans et doit indemniser ses victimes de plus de 8 000 euros de dommages et intérêts.