Colonial Brewing Company a annoncé qu'elle réexaminait son nom suite à la décision de la chaîne de spiritueux Melbourne Blackhearts and Sparrows de retirer les offres de brasserie de leurs étagères.
Le magasin a exprimé "Préoccupations" sur le nom de Colonial, qui aurait "La colonisation a causé des dommages irréversibles aux peuples des Premières nations en Australie et aux populations autochtones du monde entier."
La brasserie a perdu peu de temps à plier le genou, émettant une déclaration reconnaissant "Stress et angoisse importants entourant la communauté Black Lives Matter."
"Nous vous entendons," l'entreprise a souligné.
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La décision de mettre la brasserie sur liste noire a apparemment été prise à la demande d'un journaliste.
"Beaucoup de gens appellent la" courtoisie "quand ils plaident pour des choses qui comptent pour nous, mais parfois, être une petite garce grincheuse en public fait vraiment avancer les choses", Shaad D'Souza a écrit sur Instagram.
Le triomphe des éveillés n'a pas plu aux commentateurs.
Claire Lehmann, rédactrice en chef fondatrice de Quillette, a soutenu que le scandale était scandaleux "Exercice du pouvoir".
Personne n'est "offensé" ou "blessé" par le nom de cette bière. Personne. C'est un exercice de pouvoir. Ils le font parce qu'ils peuvent https://t.co/lYkA42TY15
- Claire Lehmann (@clairlemon) 16 juin 2020
D'autres ont partagé une désillusion similaire.
"Annuler la culture" et les campagnes visant à dépouiller le monde de tout ce qui est jugé offensant se sont accélérées dans les semaines qui ont suivi les manifestations de Black Lives Matter. La colère contre le racisme systémique présumé a tout ciblé, des films comme "Autant en emporte le vent" aux statues de Thomas Jefferson.
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