Aucune sanction contre un ministre du gouvernement qui a gravement failli ! Où sont passés les grands principes. Le mal est fait pourtant. La macronie préfère le " coronavirus-anti-Blancs ".
Par Alexandre Goldfarb
Pour sa dernière allocution du 14 juin 2020, la troisième du genre depuis l'officialisation du virus, Macron a délivré aux Français des propos aussi creux que ces précédentes interventions.
Ce faisant, il s'est exprimé, selon son habitude avec grandiloquence comme tout prétentieux qui prend la parole pour ne rien dire.
Dans son cas, afin de faire les détracteurs et autres critiques, il s'est adressé un satisfecit pour la politique qui l'a dictée à son gouvernement, falot et servile pour endiguer l'épidémie.
En réalité, les effets dévastateurs de cette politique déplorable font que la France est aujourd'hui à l'agonie. Il n'empêche que les médias complices ont trouvé matière dans le vide de la parole présidentielle pour multiplier les commentaires élogieux et que, par voie de conséquence, des Français ont applaudi béatement leur Président.
Preuve que la propagande de Macron n'a rien perdu de son efficacité et que la série #nousprendrepourdescons est donc reconduite pour une prochaine saison.
D'autant que l'agonie de la France risque d'être longue avec l'apparition récente d'un nouveau virus : le " coronavirus-anti-Blancs "
Ce virus laisse présager qu'il sera plus virulent que le précédent car il s'attaque non plus à la santé des homme, mais à leur culture, c'est-à-dire au ciment de la société et de la Nation française.
La gravité de son impact se mesure aux émeutes violentes menées par les communautés, par exemple à Dijon, qu'elles ont mis à feu et à sang pendant 4 jours consécutifs, du 12 au 15 juin 2020.
Dans le même temps, des individus ont engagé l'offensive contre des symboles évoquant des hommes qui ont fait la France, de Colbert au général de Gaulle, avec l'ambition exorbitante d'effacer de l'histoire de la France, les périodes liées au colonialisme.
Face à ces actes odieux, punissables faut-il le rappeler par la loi (Article 322-1 du code pénal), les deux ministres concernés, l'Intérieur et la Justice, Christophe Castaner et Nicole Belloubet, sont restés les bras croisés alors que leurs charges respectives leur font obligation d'intervenir immédiatement pour réprimer, sanctionner, expulser les auteurs des dégradations tout comme les émeutiers de Dijon.
Non seulement, les deux ministres ont failli à leurs obligations, mais surtout, ils ont ouvertement pris position pour les porteurs du nouveau virus, des prédateurs dont l'objectif est clair : détruire la civilisation judéo-chrétienne de notre pays.
Cet état de fait n'est pas le fruit du hasard.
Il est la conséquence inéluctable de la politique migratoire laxiste conduite par les autorités françaises depuis des décennies et délibérément augmentée par Macron pour des raisons électorales et appliquer les principes de sa propre idéologie d'obédience socialiste.
Cette politique, qui consiste à ouvrir sans discernement le droit d'asile au tout-venant a permis l'installation d'individus à présent implantés sur toute le territoire où ils ont créés des zones de non-droit interdites aux forces de l'ordre et où ils font régner la terreur.
A cette absence de tout contrôle des flux migratoires s'est ajoutée la politique étrangère de la France traditionnellement pro-arabe, à l'origine des attentats perpétrés sur le sol Français depuis les années 1980.
Et tout cela se déroule dans l'indifférence des Français voulue par Macron et stimulée par la macronie en lien avec tous les médias.
Ainsi, du fait d l'apathie des Français plongés dans une profonde léthargie par une propagande orchestrée par les médias, Macron continuez en toute quiétude, sa politique funeste.
Il en résulte que la France est, à présent, une nation fragilisée démocratiquement, en proie à une crise économique, financière et sociale, majeure et inédite et désormais exposée à une crise culturelle.
Les méfaits de cette dernière, dont le moteur est la haine et le racisme, concrétisés par les manifestations des coups de force symbolique récents s'annoncent rapidement destructeurs.
En témoigne, la déclaration faite le 10 juin 2020, par Sibeth Ndiaye, affirmant la nécessité de relancer le débat sur les statistiques ethniques, alors que celles-ci sont contraires à l'article 1er de la Constitution qui établit que " la France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ".
Une telle déclaration est donc scandaleuse et indigne de la part de la Secrétaire d'État auprès du premier Ministre et Porte-parole du gouvernement qui font d'elle, à ce double titre, une haute responsable de la Nation.
Dans ces conditions, un Président de la République, digne de ses responsabilités, devait immédiatement limoger ladite fautive. Ce que Macron n'a pas fait... Et ne fera pas.
Car, ne soyons pas dupes.
Macron a choisi Sibeth Ndiaye formée à l'école de l'aile gauche du parti socialiste, proche du parti communiste, pour occuper ce poste, chargée en tant que telle, de s'adresser aux Français, après chaque Conseil des ministres, et pour ce faire, amenée à mobiliser les médias avant et après ce rendez-vous hebdomadaire.
En démissionnant Sibeth Ndiaye, il se priverait d'un bouc émissaire idéal.
Avec elle, il est assuré que ses déclarations intempestives et ses gaffes multiples focalisent sur elle toute la tension, en suscitant quolibets et critiques qui feront la une des médias.
Ainsi, sont rejetés au second plan les dommages causés par les décisions arbitraires de Macron; qui sont autant de preuves tangibles de son incapacité à présider la France.
Une France en voie de perdre ses valeurs et ses principes hérités de son histoire qui se meurt dans l'indifférence et l'inertie.
A moins qu'un nouveau virus, le coronavirus-anti-Macron n'apparaisse dans la France pour réveiller les Français endormis, il est indubitable que notre pays connaître le sort d'autres Nations tel le Liban : berceau d'une civilisation brillante dans l'Antiquité, devenue la Suisse du Moyen-Orient le siècle dernier, le Liban est devenu aujourd'hui un no man's land pauvre et dangereux.
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Alexandre Goldfarb pour Observatoire du MENSONGE
Deux citations pour illustrer parfaitement l'article :
" L'indifférence est le plus bas niveau de la liberté " Blaise Pascal
" Être inerte, c'est être battu " Charles de Gaulle
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