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Dénoncer la DPJ parce qu’il le faut

Publié le 13 juillet 2020 par Gintonhic @GinTonHic

Nos enfants sont l’avenir du Québec, il faut en prendre soin. La DPJ a ce mandat. Parents mal aimants ils chasseront.

Mais qu’advient-il lorsque la DPJ devient mal aimante envers nos enfants? Quels sont les recours des parents?

Pire, quand la DPJ s’acoquine avec l’un des parents pour détruire l’autre en lui soutirant la garde des enfants? Quels sont les recours DU PARENT harcelé, intimidé, menacé, contre de tels intervenants de la DPJ?

Pire que le pire, quand la DPJ harcelle, intimide, menace l’enfant qu’on souhaite enlever à sa mère en lui disant : ta mère est folle! On va t’amener vivre chez ton père et tu ne verras plus jamais ta mère! Quels sont les recours contre ces intervenants de la DPJ?

Je viens de vous décrire ce que vit la fille d’une amie depuis trois ans.

La mère a quitté le père lorsque celui-ci lui a lancé le bébé qui a fait un court vol plané dans les airs. Heureusement, la mère a pu attraper le bébé.

Le père a menacé la mère qu’il allait la détruire et lui enlever tout ce qu’elle avait, y compris la garde de sa fille.

Les années ont passé. La mère a quand même accepté que le père voie sa fille, non sans inquiétude, car, souvent, lorsque la fillette revient de chez son père, elle est malade. Vaginites par-dessus vaginites, rhumes, pneumonies, dents cassées car le père lui a fait croquer quelque chose de dur comme blague!, coups de soleil, bleus, oeil fendu, etc. Le père oubli aussi de donner les médicaments à sa fillette lorsqu’elle est chez lui, ce qui fait qu’un gros rhume devient pneumonie lorsque la fillette revient chez la mère.

De ce fait, la mère passe son temps chez les médecins avec sa fillette, maintenant âgée de 10 ans, lorsque celle-ci revient de chez son père.  Ce qui lui fait manquer la classe et devient sujet à blâmer la mère pour les nombreuses absences scolaires de la fillette. Le père dit que la fillette n’est pas malade et que la mère fabule. La DPJ prend la parole du père et traite la mère de menteuse, malgré que la mère leur a remis les déclarations des divers médecins traitants. Ces documents « semblent avoir été égarés », car ils ne figurent pas au dossier de la DPJ en défense de la mère.

Également, la DPJ dit que toutes les expertises que la mère a fait faire de son côté sont biaisées. La mère a pourtant consulté de vrais médecins et travailleurs sociaux. La DPJ ajoute que ces expertises sont faites par des amis de la mère. Qui peut avoir une telle idée sinon quelqu’un qui fait exactement ça, produire de faux rapports?

Je reviens avec la question qui tue : quels sont les recours de la mère contre ces intervenants de la DPJ?

AUCUN !!!!

On dirait que la DPJ a tous les droits même plus que Dieu!

Nous avons rapporté la situation à la police. La mère est coupable SANS PROCÈS. RIEN DE CE QU’ELLE DIT N’EST VALABLE.

Aussi, la DPJ la somme de SE TAIRE et de NE SURTOUT PAS AMENER DE TÉMOINS lors des échanges avec la DPJ, ce qui est contraire à la procédure.

Pendant toutes ces années, la mère a tenté de porter plainte contre la DPJ. Chaque fois, on lui a dit qu’elle ne pouvait pas porter plainte, ce qui est contraire à la procédure.

Pour avoir vue la fillette au cours de ces trois années de violence de la DPJ, je n’ai jamais remarqué que la fillette était en danger chez sa mère. J’ai aussi vu une mère et une grand-mère inquiètes de voir la fillette revenir malade de chez son père et devoir quitter le travail pour amener la fillette chez le médecin, et ce de manière répétée.

Depuis que l’intervenante de la DPJ a dit à la fillette qu’elle ne verrait plus sa mère et irait chez son père en permanence, la fillette est troublée et ne veut pas changer quoique ce soit. Aussi, les intervenants de la DPJ ont tenté de faire dire à la fillette que sa mère la maltraitait. Cela a aussi beaucoup perturbé la fillette. Ceci ne devait pas arriver. La DPJ fait exactement ce qu’elle reproche à la mère. Du gros déplacement!

En mai 2020, j’ai déposé une demande d’intervention contre la DPJ auprès de la Commissaire aux plaintes du CIUSSS Centre-Sud de Montréal, où les intervenants dans le dossier travaillent. Je me suis fait agresser au téléphone et traitée de menteuse au point d’en perdre mes mots, stratégie largement utilisée auprès de la mère par les intervenants de la DPJ. Mais j’ai réussi à ce que la mère puisse déposer une plainte officielle. Cependant, quelques heures après sa déposition, la mère s’est fait dire par la commissaire adjointe que son dossier de plainte ne serait probablement pas retenu.

À ce jour, 12 juillet 2020, aucun écrit justificatif officiel du bureau de la Commissaire aux plaintes n’a été envoyé à la mère. Le délai de traitement de la plainte de 45 jours est expiré depuis le 9 juin 2020.

Pendant ce temps, la mère reçoit des appels et visites de l’intervenante de la DPJ du CIUSSS Centre-Sud de Montréal et se fait constamment menacer par celle-ci qu’elle n’aura bientôt plus de fille. Elle ne manque pas de traiter la mère de folle même si la fillette est là. Ce qui est inadmissible.

La mère qui collabore malgré tout avec la DPJ a proposé une Conférence de règlement à l’amiable en matière de protection de la jeunesse (CRA) à son ex-conjoint et à la DPJ. Tous ont accepté. Cependant, lors d’un échange entre l’intervenante de la DPJ et la mère, l’intervenante a dit à la mère que la DPJ et le père ne voulaient plus d’entente à l’amiable. Sachant que la mère peine à acquitter les factures d’avocats, l’intervenante aurait dit à la mère qu’ils savaient qu’elle n’a plus les moyens de payer des avocats et qu’ils n’attendaient que ça pour lui arracher sa fille.

Je suis sans connaissance devant de tels propos venant de la DPJ.  La DPJ n’a-t-elle pas le devoir de tout faire en son pouvoir pour aider les familles en difficulté?

On assiste ici à un cas pire que de la simple incompétence. Pour avoir étudié sur la violence, je sais que la personne violente a souvent des allures de personne en contrôle et surtout très aimable et charmante. Sa victime, elle, a l’air d’une hystérique, parce qu’elle subit la violence de l’autre.

Au début, je me suis dit que l’intervenante de la DPJ manquait de compétences à identifier les violents, les manipulateurs, les narcissiques. Elle s’est fait embobiner par l’ex-conjoint, pensais-je. Plausible. Mais cela n’explique pas ses propos débilitants, son sarcasme, ses menaces, son manque total de professionnalisme, voire de savoir-vivre. Cette intervenante devrait perdre son travail sur le champ.

N’eût été de cette intervenante et de son profil narcissique pervers tout comme le profil du père qui ne paye presque jamais à la mère la pension pour sa fille depuis 10 ans, il n’y aurait pas de dossier à la DPJ.

Le père vient d’avoir un deuxième bébé avec sa nouvelle conjointe, veut-il augmenter son allocation familiale pour troisième enfant (entre 1 000 $ et 2 515 $ par année). Faut aussi se rappeler que le père a juré de détruire la mère.

Je pourrais continuer encore longtemps sur ce sujet, mais j’en ai assez dit pour que vous puissiez vous forger une opinion du dossier.

Dans deux jours, mardi, le 14 juillet 2020, la conférence de règlement à l’amiable aura lieu. La mère a reçu deux rapports de la DPJ disant qu’elle avait de gros troubles psychologiques sans mentionner lesquels et sans l’avoir fait évaluer. D’ailleurs, tous les rapports produits par la DPJ ne font état d’aucun fait précis contre la mère. Depuis le tout début, la mère tente de savoir de quoi on l’accuse et, à ce jour, aucun fait précis n’a été relevé par la DPJ. Outre ces deux rapports, la mère est dans le néant en ce qui a trait au déroulement de la rencontre. Les paroles de l’intervenante lui trottent dans la tête : on ne veut pas d’entente, on veut ta fille.

Quels sont les recours de la mère?

Je vous disais plus haut qu’il n’y en a pas. Parce que PERSONNE, je dis bien PERSONNE ne s’intéresse à cette mère et SURTOUT à cette FILLETTE de 10 ans. Ce n’est pas parce qu’on n’a pas essayé. Mais…

  1. La mère a été décrétée COUPABLE par la DPJ au jour 1.
  2. Tenter de raisonner avec les intervenants de la DPJ dans le dossier qui nous concerne ici est vain.
  3. Ma demande d’intervention a été rejetée.
  4. La plainte officielle au bureau de la Commissaire aux plaintes est hors délai depuis le 9 juin 2020.
  5. Mes trois tentatives de communiquer avec la Présidente et Directrice du CIUSSS Centre-Sud de Montréal, Madame Sonia Bélanger, sont demeurées sans réponse.
  6. Mes quelques tentatives de communiquer avec le Ministre délégué à la Santé et services sociaux, M. Lionel Carmant, sont demeurées sans réponse.
  7. Mes quelques tentatives de communiquer avec le Ministre du Québec, M. François Legault, sont demeurées sans réponse.
  8. Mes nombreuses tentatives de communiquer avec les médias télévisés et journaux, et divers éditorialistes, sont demeurées sans réponse.

Pourquoi j’écris ceci maintenant?

Parce que j’ai jasé avec la fillette qui ne semblait pas avoir de problèmes dans la vie avant que la DPJ ne débarque.

Un jour, je voulais savoir ce que la fillette pensait. Alors, je l’ai invitée à venir avec moi au dépanneur. J’ai profité du fait que nous étions seules pour lui poser des questions.

  • Je ne me souviens plus, t’habites où, avec ta mère ou ton père?
  • Avec ma mère, mais je vais souvent chez mon père.
  • Ah ! C’est vrai, j’avais oublié.
  • T’es pas fatiguée de toujours être dans des valises?
  • Non!
  • Ah… moi je pense que je serais fatiguée.
  • Pas moi! J’aime ça comme ça!
  • Sauf que mon p’tit frère brise toujours mes affaires.
  • Ah oui ?

Pourquoi j’écris ceci maintenant?

Parce que j’aimerais bien que cette belle et intelligente jeune fille n’ait plus le cœur arraché entre son père et sa mère. La fillette ne demande que de continuer à vivre comme elle l’a toujours fait.

Pourquoi venir mettre la merde dans la vie d’une fillette qui n’avait pas de problèmes avant l’arrivée de la DPJ qui s’est acoquiné avec le père au point que lors d’une première audience devant la cours, l’intervenante de la DPJ est allée vers le père et ils se sont fait la bise sur les joues. Inconvenant!

J’écris ceci pour solliciter de l’aide dans ce dossier.

Tout le monde a-t-il si peur de la DPJ?

Si c’est le cas, c’est vraiment pas normal.

Coup donc, la DPJ est-elle une mafia?

Je ne peux pas croire que tout le monde se câlisse d’une fillette qui n’en a rien à cirer des adultes enfants. Peut-on l’aider à grandir dans la joie?

Qui va nous aider?

J’ai peur que personne ne réponde.

L’Être humain me déçoit. SVP prouvez-moi que ce n’est pas vrai.

Nous avons l’historique du dossier depuis trois ans. Nous avons aussi des enregistrements d’échanges entre la DPJ et la mère. Ces enregistrements ont été effectués à l’insu de la DPJ, ce qui est légal en autant que la personne qui enregistre fait partie de la discussion.

Nous sommes prêts à remettre ces enregistrements à toute personne qui voudrait nous aider, incluant tous les médias.

NOTE AUX MÉDIAS
Selon le Code de procédures civiles,
les journalistes peuvent assister à
la Conférence de règlement à l’amiable en matière de protection de la jeunesse.

Cela n’était pas notre intention, mais si nous devons le faire pour faire bouger les choses, nous le ferons.

Je termine en disant que l’intervenante dans notre dossier n’a pas que notre dossier entre les mains. Si vous sentez que vous vous reconnaissez dans mes propos, n’hésitez pas à m’écrire. Nous joindrons nos efforts pour protéger nos enfants de certains intervenants de la DPJ.

La DPJ est là pour protéger les enfants et non pour les détruire. N’acceptons jamais que nos enfants soient détruits par les égos trop gros d’intervenants de la DPJ.

Après le mouvement #metoo, pourquoi pas le mouvement #dpjtoo?

Merci de m’avoir lu.

Merci d’aider nos enfants à grandir dans la joie et dans la paix et surtout loin des égos mal famés.

Dénoncer la DPJ parce qu’il le faut

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