Magazine Humeur

Bill Gates : Les portes de l’enfer

Publié le 25 juillet 2020 par Georgezeter
Bill Gates : Les portes de l’enfer

prétendait-il pas : " L'enfer est pavé des meilleures intentions...C'est bien connu. Depuis mars 2020, pas une journée ne se passe sans que l'on voit, entende, écoute le philanthrope milliardaire Gates. Sur tous les fronts de l'agitation de " trouver LE vaccin ! " Et ça parle milliards de milliards sur chaque média. De plus, ses potes zilliardaires les possèdent tous ces... Médias. Donc, aucune chance de contradictions dans ces shows passe-plats/pisse-froid. C'est d'une shoftness infernale, sans saillie, sans répartie et sans aspérité, tel un électrocardiogramme raplapla. Bill peut développer benoîtement ses lubies eugénistes ( oups ! ne pas dire ce vilain mot), sans être interrompu par un ectoplasme. Il est certain que Bill et Kant n'auraient pas fait bon ménage. Le philosophe ne que l'on peut apercevoir l'intelligence d'une personne au travers des doutes qu'il est capable de supporter . " Et Bill, en bon psychorigide ne doute pas, ce n'est pas dans son ADN, à chaque jour mérite sa peine et il creuse et creuse patiemment le sillon du vaccin pour chacun, partout où un bipède s'agite. Point ! Ah, que l'enfer c'est les autres !

Parlons de cette fameuse fondation Melinda & Bill Gates

Une fondation philanthropique, est une organisation non gouvernementale à but non lucratif, avec des actifs fournis par des donateurs, gérés par ses propres fonctionnaires et avec des revenus préférentiellement dépensés à des fins " socialement utiles ". En fait, un électron libre dans un monde si bien organisé pour traquer de la taxation. Bon, mais ça m'a l'air très bien tout ça non ? Mais, meuh... ??? Au-delà de l'engagement pour le bien commun, la philanthropie garde toute sa place dans une stratégie patrimoniale de défiscalisation optimale, et voici chers mécènes comment en profiter efficacement. Une fois choisi le mode d'action le plus adapté, reste à optimiser la fiscalité. Différents leviers existent pour faire vivre sa fondation et son fond de dotation, tout en en tirant profit maxi. Plus le projet philanthropique aura été anticipé, plus les avantages en seront importants. Que ce soit à la création ou après, il y aura des bénéfices en matières de déductions fiscales sur les dons effectués. Je vous passe les explications techniques, mais il y a un point primordiale à jouer les philanthropes : C'est de décider de la destination où Mon l'argent et où Mes impôts vont, alors que pour le tout venant contribuable, ce sera, payer aux services idoines de collecte en temps et heure.

Bill Gates fut en guerre contre l'administration fiscale américaine dans les années 90 avec la loi antitrust sur le dos. Pour contrecarrer, il divisa en deux son empire Microsoft, puis, en 2000, il balança tous ses avoirs et bénéfices dans sa fondation, ce qui lui permet depuis de dormir tranquille, de ne plus être embêté par le fisc et de jouer au bon samaritain sous les vivats des peuples décervelés. C'est la marotte de tous ces ultras-mégas riches : Un bon exemple, chez nous : La fondation LVMH qui défiscalise à coup de milliards d'euros aux caprices du prince ( sans rire) Bernard Arnault ; Et que j'inaugure un musée ici, une galerie là, que je balance deux cents millions pour Notre Dame... Et c'est d'autant qui ne tomberont dans les caisses de l'état. Historiquement, l'ancêtre de ce bidouillage fut l'homme le plus riche du monde des années 50/70, Howard Hugues, un drogué notoire, qui ne paya jamais d'impôts grâce à ces montages olé, olé alors qu'il entre autres possédait les trois quarts de Las Vegas...

Ainsi, Gates distribue ses milliards où il veut, quand il veut, à qui il veut sans avoir à se justifier d'un iota. Cool non ! Moi lorsque je paye les miens d'impôts j'aimerai dire au contrôleur d'envoyer cette somme pour réparer le toit de l'école ou acheter des jeux pour la maison de retraite du coin...Au lieu de ça, mon argent durement gagné tombe dans le tonneau des Danaïdes pour payer les intérêts de l'emprunt de la dette ( 45 milliards par an pour des banquiers et actionnaires)

" ( Retournons très loin, vers 1975. Gates bidouille avec son pote Paul Allen sur les premiers ordinateurs PC naissants. Dès le départ, il a la bosse du commerce Billy the cash. Il faut savoir que l'informatique des premiers temps était un truc de hippie, donc, pas question de faire du fric sur le dos de cette nouvelle technologie. Mais lui, sentant le vent, rapidement y mit le holà. Le 31 janvier 1976, il écrit une lettre intitulée " Lettre ouverte aux bricoleurs), dans laquelle il condamne pour la première fois le partage illégal gratuit de l'un des logiciels, le Basic d'Altair de Paul Allen. Nous lui devons donc depuis, le paiement de chaque programme mis en service dans le monde...Merci qui ? Ce sera son seul coup de génie, faire raquer le geek. Il a surtout compris en bon commercial que les dollars se prendraient sur la peau du software, et non pas sur celle du hardware ; Ce qui fut la grande erreur de Steve Jobs, son concurrent, qui le vit couler pour un temps. Ce petit retour pour dire quand il est question de pépettes, il se pose là " le génie de l'informatique ". Et donc, sa fondation destinée au bonheur, à la santé du monde, est d'abord avant tout une machine à cash/cash, qui lui permet d'avoir plus de pouvoir que n'importe quel pays au monde. Faut voir les leaders ( macron) à quatre pattes qui se la bouclent lorsque Billy débarque, avec ses 50 milliards et tous ses amigos pleins aux as. Tout ce poids lui permet de forcer la main et aussi de vendre aux gouvernements des systèmes Microsoft ; Voir la France avec le scolaire et la défense, mais comment dire non à Billy le mirifric? Qui bien planqué derrière ses lunettes de presbyte, sourit et ne pipe mot. Un sphinx qui aurait du nez, qui ramasse la mise et ne dira jamais merci !

Bill Gates avait annoncé léguer 95 % de sa fortune à sa fondation. Ces belles actions ont contribué à ce que le magazine le désigne comme la " Personnalité de l'année 2005 ", aux côtés de son épouse Melinda et de Bono, le chanteur du groupe U2, pour leurs actions sur le front philanthropique. ( Le front...ca se voit qu'ils ne sont jamais allé à la guerre). S'il était resté PDG de Microsoft, il n'aurait été qu'un grand patron de plus avec autant de dérives qu'un Carlos Ghosne, mais là, sans avoir aucun talent particulier, il parle d'homme à homme à ceux qui occupent le devant de l'estrade; il est l'un deux, et est traité comme une star de cinéma sans avoir tourné son bout d'essais et même la reine d'Angleterre lui claque la bise.

Alors ? Quels seraient ses plans pour demain ?

Nous sommes d'accord, je ne suis pas dans la tête de Gates et ni itou dans celle de John Malkovich. Mais en ayant bien observé, écouté et cogité, voila ce que je ponds.

Bill Gates doit souffrir. Je vous entends... Partagé qu'il doit être par deux courants contradictoires. 1) - Vouloir soigner à tout prix l'humanité en espérant sur le très long terme une diminution graduelle de sa population, car, selon lui, les meilleures conditions d'hygiènes et de santé via les vaccins et les médocs feront que la mort infantile reculera drastiquement et ainsi, les femmes accoucheront moins. 2) - Le développement de l'intelligence artificielle qui mettra rapidement sur le carreau des milliards de travailleurs remplacés par de la robotique, alors que faire de ces déclassés ? Donc, d'un coté une diminution très lente de la population et de l'autre un effondrement rapide et prochain des structures sociétales. Si ce n'est pas choisir entre la peste et le cholera je n'y comprends plus rien. Les alternatives se télescoperont : le soin devenant un contrôle ? La théorie selon laquelle les vaccins pourraient être le vecteur d'une réorganisation du monde n'est pas à négliger. D'autant, en parcourant la ligne de la fondation Gates, et ses nombreux mauvais choix et manipulations des années passées, ayant mis sur le carreau des populations entières de pays pauvres, nous prouve fortement que l'adage " on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs " est à l'épreuve.

La vraie hécatombe de notre époque, est individuel : c'est la faillite de notre système immunitaire, torpillé par la chimie (Monsanto), l'agro alimentaire, les OGM, pesticides, antibiotiques, la médicalisation généralisée, le stress et la peur, l'obésité et bien d'autres fléaux, comme la pollution, les changements climatiques et même la faillite du système économique et financier...Et bien tous ces vecteurs de morbidités participent grandement au financement de la fondation Gates...Et aux versements de ses si généreux " dons " pour " sauver le monde.

Vous me direz, qu'avec ces trois articles j'ai dû me faire plaisir à tirer à boulets rouges sur cet homme...FAUX !!! Car je crois en sa sincérité. Bill Gates et sa femme étaient au départ malgré un sens du lucre prononcé des gens de bonne volonté, mais pris qu'ils sont depuis vingt ans dans un maelstrom qu'ils ne contrôlent plus, où ils ne voient plus la réalité vraie, devenu hors sol, ils évoluent dans une stratosphère inhumaine. Cependant, bien au dessus d'eux plane " un autre monde " restreint, peuplé et conduit par une bande de dingues fonctionnant sur l'" après nous le déluge !" Des nihilistes, des vrais méchants, capables de pousser sur le bouton libérant l'atome ; Ceux là même qui veulent faire " de la place " et si possible net, car, pour eux, cette terre où nous sommes entassés n'est plus viable... De toute manière que faire de ce troupeau d'inutiles ? Alors du balaie ! Dégagez ! Leur force est d'être bien cachés pour tisser leur toile, ils sont non identifiables et utilisent savamment des idiots utiles, s'il le faut, de haut vol... Gates serait-il l'un de ceux là ? ?

un jeune homme bidouillait des ordis des rêves plein la tête. Qu'en est-il aujourd'hui ? Comme tout mortel, l'âge venu se Il y a longtemps en Californie, pique t-il de philosophie désabusée, là haut tout en haut de sa montagne d'argent, et en tire t-il cela ? : " L'enfer n'est que le lieu où se consume ce qui a refusé de vivre d'une vie réelle. " ... Moi, Bill Gates...J'ai visité les portes de l'enfer.


Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine