Pas de feria cette année, ni à Nîmes ni ailleurs. C’est tout bon pour les toros, moins pour les festaïres, à qui ont manqué le « parfum de fête, autour des arènes / L’odeur du pastaga, dans les bodegas ». Peut-être pas que l’odeur, d’ailleurs, car Les Ricounes finissent par cracher le morceau : « 51 je t’aime, j’en boirais des tonneaux / A me rouler par terre, dans tous les caniveaux ».
Les Ricounes
La feria de Nîmes