Je n’avais jamais lu Lola Lafon - ou plutôt : j’avais essayé, par deux fois, je n’avais pas réussi. Trop de manières, je crois - cette manie des auteurs français de nous prouver qu’ils écrivent bien (qu'ils lisent Carrère, tiens, avec son air de ne pas faire de style).
Autant dire que le crédit-pages de Chavirer était de 10, 15 au maximum.
Il en a fallu moins de 5 au roman pour me faire virer de bord.
Quelle finesse ! Pas tant dans l’écriture,…