… et voici une de mes plus gigantesques photos ratées. Bien bien ratée, même. Mais j’ai une excuse : je n’avais qu’un brave téléphone et pas l’appareil photo et son zoom spécial paparazzi. Et même une deuxième excuse : l’écureuil court saute et bondit vraiment trop vite. Mais quand même, le petit rongeur est sur l’image. Une chouette mini-récré entre deux phases de taff.
Cela dit, pour ceux qui ont suivi l’aventure, j’ai retrouvé le fil du temps, mais ce sont mes collègues qui partent en patachon XXL : l’un d’eux, ce matin, est arrivé deux heures trop tôt, se croyant déjà à vendredi (car, pour expliquer à ceusses qui ne le savent point, les profs ne rejoignent pas tous les jours le bahut à la même heure). Il a du patienter, le pauvret, en compagnie d’un photocopieur ronflant gentiment, sur une petite chaise un peu raide. C’est long, deux heures, quand tu ignores qu’à deux pas des écureuils jouent à saute-éléphant.