Comme tous les lundis, j’ai émergé un peu après le journal d’Inter de 6 h, et j’ai consacré la matinée à préparer des cours pour la semaine. Ayant un emploi du temps (presque) tout pourri, je n’ai pas trop le choix. La hiérarchie avait convié, protocole sanitaire oblige, les seuls collègues ayant cours ce matin pour l’hommage à Samuel Paty. Je n’ai donc pas assisté à ce temps pourtant important. Plongée dans les théories de Clausewitz sur la guerre (il n’y a rien que du joyeux dans le programme de spé de terminale), j’ai sorti de mon esprit ce confinement saison 2, encore plus insupportable que le premier, car largement lié à l’incurie profonde de ceux qui nous gouvernent.
Puis, après déjeuner, j’ai enfourché le vélo pour écouter les exposés de gentils poussins de première. Rien que du normal. Pas un policier. Pas un militaire aux abords de l’établissement. Rien que du comme avant.
Juste une nouveauté, une seule : une nouvelle petite série dans les programmes courts d’Arte. Ça s’intitule « De Gaulle à la plage » et, ce soir, le grand Charles portait des tongs pour la première fois (à voir en cliquant ici). Quelle aventure …