... et on va le payer très cher ! " Citation de Luc Ferry
Par Claude Picard
... et on va le payer très cher ! " , déclarait le philosophe Luc Ferry, ancien ministre, peu après l'élection d'Emmanuel Macron.
Il avait eu du flair : trois ans se sont écoulés et la France est à la ramasse ! Aujourd'hui, on peut constater le désastre de la gouvernance de ce gamin arrogant, par définition immature. Outre ses frasques affligeantes, avec des racailles de Saint-Martin faisant des gestes obscènes ou sa fête de la musique, tout aussi affligeante, organisée à l'Élysée en juin 2018, pendant laquelle, le DJ, Kiddy Smile, en arborant, ostensiblement, un t-shirt marqué d'un provocant " Fils d'immigré, noir et pédé ", invita ses danseurs, à l'évidence " noirs et pédés " à la vue de leurs déhanchements ostensiblement suggestifs et vulgaires, à s'exhiber outrancièrement ou, encore, ses autres frasques et compromissions avec un certain Alexandre Benalla, Emmanuel Macron a largement prouvé qu'il n'a aucune envergure pour diriger un pays. Il n'a pas la carrure, il n'a pas le charisme nécessaire et il n'a même pas la culture indispensable pour occuper ce poste. Il n'est qu'un faussaire de la politique, un manipulateur, un phraseur qui débite, comme un perroquet, une succession de fadaises incohérentes. Il est vrai que, n'étant que le vassal d'une Union européenne dominante, son champ d'action est assez limité. Le malheur, c'est qu'il continue à jouer au président, en nous mentant sans vergogne et en administrant la France comme le ferait n'importe quel stagiaire désorienté. Vraisemblablement, il n'a toujours rien compris. À rien ! Il ne comprend même pas son peuple. Parce qu'il en a peur ! Et cela le panique.
Tout aussi paniqué pour gérer une crise sanitaire qui le dépasse et qui risque de se transformer en crise économique bien plus mortelle que le virus qu'il dit combattre (n'essaye-t-il pas plutôt de pallier la pénurie de lits d'hôpitaux dont il est, en partie, responsable ?), notre gamin président ne trouve rien de mieux que de confiner, à nouveau, toute une population au bord de la crise de nerfs. Ce deuxième confinement passe mal auprès des Français et particulièrement auprès des acteurs économiques, déjà fortement impactés par le premier confinement. Combien faudra-t-il de confinement pour que Macron et les incapables qui le conseillent, comprennent qu'un confinement non ciblé, n'empêchera jamais un virus, quel qu'il soit, de circuler ? Et que ce remède risque fort d'être pire que le mal ? D'autant plus que, pendant qu'une vague d'attentats islamistes rajoute une peur à la peur déjà prégnante et bien orchestrée par les médias aux ordres, cet enfermement arrive mal à propos. Traumatiser une population, d'ores et déjà, très éprouvée, en lui faisant subir une double peine, est assez suicidaire et n'est-ce pas faire preuve d'imprévoyance pour l'avenir ?
Dans une France très fragilisée par une gouvernance indicible et une démocratie chancelante, la situation ne peut que dégénérer. La colère que l'on sentait monter depuis quelque temps, s'exprime, çà et là, par quelques mouvements de rébellion de la part de citoyens excédés. Des petits commerçants bravent les interdits avec le soutien de leur municipalité, des habitants de grandes villes organisent des manifestations anti-confinement et des pétitions de libraires ou de médecins, en colère contre les décisions inconséquentes du gouvernement, abondent sur Internet et les réseaux sociaux. Tous prennent conscience que la coupe est pleine et qu'il faut, impérativement, changer de braquet sinon, ce sera, pour tous, la mort sociale. Certes, tout cela reste encore marginal, mais les prémisses d'un plus large ras le bol, dont personne ne peut prévoir les conséquences, sont là. Et il n'est pas besoin d'avoir fait l'ENA pour comprendre qu'il n'y a que deux scénarios possibles : la résignation ou la révolte.
De toute façon, cette fois, on va dans le mur. La banqueroute nous pend au nez, les islamistes sont déjà là et nous égorgent à qui mieux mieux, l'autorité régalienne de l'État part en vrille et le moral des Français, abandonnés à leur sort, est au plus bas. Visiblement, l'espoir se rétrécit. Sauf que pour un malade, en occurrence la France, comme disait l'autre : " tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir ". Surtout, celui d'avoir, à nouveau, une vie libre ! Sans Macron et sa bande d'incapables !
Claude Picard
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