Quand des médecins, en instrumentalisant la science, se prennent pour des politiques et que des politiques se prennent pour des médecins et que, tous ensemble, ils veulent gérer une épidémie qu'ils ne sont pas capables de maîtriser, parce qu'ils n'écoutent qu'eux-mêmes, leur mésaventure ne peut que déboucher sur une catastrophe.
Par Claude Picard
Quand des médecins, en instrumentalisant la science, se prennent pour des politiques et que des politiques se prennent pour des médecins et que, tous ensemble, ils veulent gérer une épidémie qu'ils ne sont pas capables de maîtriser, parce qu'ils n'écoutent qu'eux-mêmes, leur mésaventure ne peut que déboucher sur une catastrophe. Quelques-uns de ces freluquets, morts de trouille, croient faire de leur mieux, mais d'autres, pour des raisons pas toujours avouables, tirent les ficelles d'une situation qu'ils voudraient juteuse. Parce qu'ils ont quelques intérêts avec des grands groupes pharmaceutiques ou plus simplement, parce qu'ils sont prêts à tout pour conserver un pouvoir qui leur échappe ? On peut se poser la question ! En attendant la réponse, au sommet de l'État, l'intelligence a, irrémédiablement, quitté la raison et la peur, déjà prégnante, se transforme en une paranoïa rampante qui s'insinue dans toute la société et à tous les étages décisionnaires. Même dans l'opposition ! Triste spectacle que cette opposition masquée... Et muselée !
Le problème de cette crise sanitaire que nous subissons, c'est que le Conseil scientifique, qui conseille notre Président, est, essentiellement, composé de petits commissaires en blouse blanche, également appelés, " Khmers blancs ", tellement ils sont despotiques. Ceux-là mènent le pays à la faille morale, économique et démocratique. Comment comprendre et interpréter leurs décisions quand celles-ci n'ont aucun sens, ni aucune logique, comme le port du masque en solitaire, en extérieur ou la fermeture de tous les petits commerces qui vendent des articles non-essentiels (non-essentiels pour qui ?) pendant que les grandes surfaces accueillent dix fois plus de monde ? Comment adhérer à des arrêtés aberrants qui ressemblent plus à des malveillances qu'à de la bienveillance ? Comment ne pas douter de la capacité politique de nos dirigeants quand on voit un Ministre de la Santé, Olivier Véran, péter un câble et devenir hystérique devant une Assemblée nationale médusée, mais vent debout contre son injonction à faire quitter l'hémicycle à des députés, élus par le peuple et qui, par définition, sont chez eux ? C'est Véran qui aurait dû quitter l'hémicycle ! Définitivement ! Car, après sa diatribe, il a largement prouvé qu'il n'est pas à sa place.
Ce Ministre a pourtant la charge de toute la logistique de la crise sanitaire. Il est secondé par Jean-François Delfraissy, Président du Conseil scientifique... Ces deux-là sont inégalables pour propager une ambiance anxiogène à tout le pays. Mais il ne faut pas oublier un troisième larron, Jérôme Salomon, Directeur général de la Santé, qui, lui, a une vocation de croque-morts : il n'a pas son pareil pour foutre la frousse à la terre entière, en énonçant, de façon tranchante et en charrette, le nombre de morts journaliers. Ces pieds nickelés de la politique, nous jouent, avec constance, " Au théâtre, ce soir ", façon Grand guignol. Et on en a pour son argent : frissons assurés à chacune de leurs saynètes télévisées. Au final, que cherchent-ils à nous prouver ? Que l'épidémie est dangereuse ? Que la situation est pire que les autres années ? Que nous sommes des petits enfants que l'on doit protéger à tout prix ? Ne seraient-ils pas en train de nous berner pour nous tenir en haleine jusqu'à la fabrication d'un vaccin ? Vaccin évidemment édité par un groupe pharmaceutique qui pourra verser des dividendes à des amis proches du pouvoir ? Encore une fois, la question mérite d'être posée vu les bouffées délirantes qui agitent toutes les élites mondiales de la finance et de l'économie. D'autant plus que cette folie sanitaire, qui dure depuis presque un an et tous ces confinements généraux et successifs, qui n'ont jamais eu lieu auparavant dans toute l'histoire de l'humanité, nous plonge dans une situation, tout de même, abracadabrantesque. Jusqu'où vont-ils nous emmener ?
L'enfermement de tout un pays n'était pas la seule solution, des solutions alternatives existent pour peu que l'on écoute d'autres spécialistes tout autant qualifiés que les conseillers du Président, encore aurait-il fallu prendre d'emblée les bonnes mesures : tester, traiter, isoler les malades et seulement les malades, pas la population entière. Le confinement n'est que la preuve que l'on a échoué dans la prévention. Pourtant, " Gouverner, c'est prévoir " !
Tout cela n'est pas très glorieux pour les incompétents qui nous dirigent.
Et, en plus, ils font payer la facture aux Français. En tuant le pays !Claude Picard
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Dessin de couverture par CAMBON pour URTIKAN
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