Pendant longtemps, très longtemps, je n’ai pas compris ce qu’on attendait des étudiants dans la 3e partie d’une dissertation. Thèse, antithèse, synthèse, je voyais bien, mais après avoir dit blanc puis noir, à quoi servait-il de conclure gris ? Et puis un jour, ce devait être en fin de Terminale, j’ai fini par entrevoir la lumière : merde au gris, il s’agissait d’introduire un concept nouveau qui faisait voler en éclats l’opposition basique entre noir et blanc. Un peu de couleur, au fond, et de quoi s’amuser en C un peu après l’académisme de A et B.
J’y ai repensé cette…