propos ascétiques XXXVI
Publié le 24 juillet 2008 par Moinillon
Que
personne, en entendant parler du sens de l'esprit, n'espère voir d'une manière
sensible la gloire de Dieu. Nous disons en effet que l'âme, une fois purifiée,
sent par une sorte de goût indicible la consolation divine, mais sans que lui
apparaisse rien de ce qui est invisible, puisque pour le moment, nous cheminons
dans la foi et non dans la vision, comme le dit le bienheureux Paul.