Street art – Art urbain – Partie n° 7/7 – Moyen orient -Asie et Océanie-Billet n° 396

Asie
Afganistan :Shamsia Hassani =Art lords (+)

Chine
On sait qu’au départ, le street art est généralement contestataire. Il dénonce la corruption, la société de consommation, les injustices, la pollution. Hors, l’on sait qu’en République populaire de Chine, ce genre d’approche n’est pas admise, comme toute forme de contestation. Si le sujet traité n’est pas politiquement sensible, le fait de dessiner sur un mur est considéré comme un comportement tolérable. Ce n’est pas la police nationale mais le Chengguanju, le Bureau de gestion urbaine, chargé de la propreté des villes qui gère ces questions. Ce sont souvent les habitants qui s’opposent aux graffeurs. La solution est donc de plus en plus pour eux de s’associer avec des firmes commerciales, pour décorer des ensembles immobiliers ou pour la publicité. A lire et aussi
Il ne faut donc pas s’étonner que le Street art n’y est pas très développé. Pour un pays de près de 1.5 milliard d’habitants, le nombre d’artistes connus est dérisoire :

Chine continentale
: Kwanyin Clan =Soos = ABS =Sea =Active-Brilliant-Significant=
TMM -The ManageMent ==, KTS -Kill the Streets=,
Tsang Tsou Choi =Zhang Dali =MC Yan = Cise = Whyyy =
TAMSL = Dickid = Sice = FBL Crew = Moses = Taps = Shat
=Reload Crew =, Oop = Beast Mode = Shi Zheng = DALeast
à noter que peu d’entre-eux disposent d’un site

Xu Yang

Hong Kong : Le street art y est présent, mais ce sont surtout les artistes internationaux qui sont présents. Il y a cependant des artistes locaux comme par exemple :
Tsang Tsou Choi = Sinic =Kwan Yin Clan = Alex Croft= Xeva = Pasha Wais
Chen Guanren alias MC Yan == Tang Chin = Messy Desk = Lousy Jon