2°) Un vaccin qui pourrait modifier durablement le génome humain, sans que ses promoteurs sachent sous quelle forme notre espèce risquerait de muter Chapitre 3
Par Daniel Desurvire
Chapitre 3
2°) Un vaccin qui pourrait modifier durablement le génome humain, sans que ses promoteurs sachent sous quelle forme notre espèce risquerait de muterS'agissant de l'aspect sanitaire face à la pandémie suscitée par le coronavirus , l'État français, à l'instar de la plupart des social-démocraties de l'Union, n'a rien trouvé de plus prophylactique que d'instaurer un couvre-feu à la façon d'un pays en guerre ; d'assigner les citoyens à résidence comme si les français étaient tous des repris de justice ; de confiner les citoyens avec obligation de fournir des ausweise sous forme d'attestations auto-rédigées, les privant de travail, de revenus et d'éducation scolaire ; puis en sacrifiant des dizaines de milliers d'entreprises ainsi acculées à la faillite. Or, cette dépression économique reste sans précédent, car elle ne fut pas accidentelle, mais programmée pour des motifs aussi obscurs que les comptes numérotés qui trouvent refuge dans les paradis fiscaux.
Ces mesures liberticides et budgétairement suicidaires s'avérèrent inutiles, humiliantes, coûteuses et contraignantes, puisque ce ne furent qu'après les nombreuses mutations de cette souche virale ARN - par erreurs successives d'encodage - que la pandémie s'est progressivement affaiblie par auto-élimination de cet agent infectieux. Il ne s'agit rien de moins que d'un processus de sélection naturelle, ainsi l'influenza (la grippe hivernale), qui réclame l'immunisation progressive des populations pour s'éteindre (entre 65 % à 75 % des populations infectées), plus que toute autre mesure aseptique ou vaccinatrice ne saurait le faire. Mais pour assurer la commercialisation du vaccin, des imageries publicitaires jouèrent de l'infantilisme, aseptisant davantage les esprits fragiles que le système immun, envahissant l'espace médiatique en passant en boucle des schémas comportementaux abêtissants.
Le covid-19 aura donc muté ± 200 fois ces 9 derniers mois, de sorte que ce virus ne tue presque plus personne . Les directeurs d'hôpitaux ne cessent pourtant d'informer les instances politiques que la corona a déserté leurs établissements, ainsi à Marseille où une aile entière d'un bâtiment dédiée à la covid demeure vide. Que nenni, la propagande persiste à marteler les populations qu'un danger de mort imminent les guette à chaque coin de rue, afin de répandre la psychose et multiplier les comportements hypocondriaques. L'émotion suscitée autour d'un virus, aujourd'hui guère plus virulent ni plus létal que l'influenza, selon l'avis du corps médical hors de l'emprise politique, fut un moyen propice pour l'Exécutif d'imposer son affairisme apocalyptique de façon péremptoire, car sans recherche ni intelligence quant aux annales didactiques des virologues les plus pointus. Voici exposée une réflexion de Gérard et Nicole Delépine, tous deux médecins, extraite d'une interview dirigée par Xavier Azarbert pour France Soir, le 2 octobre 2020).
" La dernière fois qu'un confinement aveugle d'une ville française avait été réalisé en 1720 pour la peste de Marseille, il avait abouti à la mort de la moitié des habitants (50 000 sur 100 000) sans empêcher la diffusion de la maladie à la Provence (70 000 morts supplémentaires) et à l'Italie proche. La grippe de 1968, ou grippe de Hong Kong, fut une pandémie qui se répandit dans le monde entier à partir de l'été 1968 et jusqu'au printemps 1970. Elle tua ± 1 million de personnes et elle en fut la cause par une souche réassortie H3N2 du virus H2N2 de la grippe A. Il s'agit de la 3ème pandémie du XXe siècle après la grippe dite espagnole (entre 50 à 100 millions de morts de 1918 à 1920) et la grippe asiatique (2 millions de morts en 1957). Le 17 avril 2020, il fut dénombré 147 000 décès imputés au COVID-19 dans le monde, soit 0,0019 % de la population mondiale. Ce constat est loin des chiffres de 1968 et place cette nouvelle pandémie au niveau 1 du tableau de référence. Alors pourquoi tant de confinements et de névrose autour d'un virus qui n'aura guère tué plus que moitié plus de gens qu'une grippe hivernale (virus influenza à ARN de trois types : A, B [saisonnière] et C. [bénin] de la famille des Orthomyxoviridae) ? Pourquoi n'enseigne-t-on plus l'Histoire si instructive et correctrice de jugements " ?
À suivre
Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).
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Distanciation, gestes barrière, masque... une sollicitation qui aseptise autant qu'elle amenuise l'action des anticorps, fragilisant le système immun, d'où une déficience progressive des défenses naturelles. Allons-nous devenir des enfants-bulles sous l'effet d'une immunodéficience programmée ; sorte de thérapie génique à l'envers.
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synopsis : dans une réalité alternative, ce voyage entre la Terre et Sagittarius A, le trou noir de la Voie lactée, met en exergue les conséquences de nos mentalités projetées dans le sombre devenir de la planète. On y découvre l'inexorable destin d'une civilisation insouciante quant aux pollutions anthropiques qui annihilent la planète, ou les dogmes réducteurs que la social-démocratie hésite à repenser sous le sceau de ses labels complaisants...