Le mépris est le socle de l'idéologie au pouvoir depuis bientôt 10 ans.
+ BONUS : Montagne interdite
" L'effet apéro "
Par Maxime Tandonnet
Après les sans dents, les Gaulois réfractaires, les fainéants, ceux qui ne sont rien, ne peuvent même pas se payer un costume, n'ont qu'à traverser la rue pour trouver un emploi, fument des clopes et roulent au diésel, les connards (le peuple), voici les addictés à l'apéro quotidien. La formule dénote une furieuse méconnaissance de la vie des Français. Qu'imaginent-ils? Les Français à 18 H se précipitant comme un seul homme devant le verre de pastis et les cacahouètes? Que font les sans dents à 18 H, en sortant du boulot? Les courses pour le soir, les devoirs des enfants, les démarches à la poste ou à la banque ou sur Internet.
L'effet apéro n'existe pas. Le couvre-feu partout à 18 H, dans la course folle au mépris nihiliste, n'aura pas d'autre effet que d'aggraver l'écrasement de l'économie française et de la liberté. Il ne fera que renforcer l'asphyxie du pays, le martyre des petits commerçants, des restaurateurs, des gens de la culture et du sport d'hiver. Au nom de la peur, il ne détruira évidemment pas le virus mais il poursuivra l'œuvre d'anéantissement de la dignité des Français, dans l'attente de la nouvelle gifle annoncée, le confinement total. La mesquinerie bureaucratique, à l'image d'une saignée de Molière, ne fait qu'aggraver le mal, avec une violence inouïe.
Voilà ce qu'ils ne comprendront jamais.
Maxime Tandonnet
Ancien conseiller à la Présidence de la République sous Sarkozy, auteur de plusieurs essais, passionné d'histoire...
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Montagne interdite
Par Maxime Tandonnet
Parmi les décisions les plus invraisemblables intervenues depuis le début de la crise sanitaire, l'interdiction d'accéder aux plages et aux forêts en mars/avril, la fermeture des librairies en octobre/novembre et aujourd'hui, le bannissement de la montagne.
Ces mesures n'ont, de fait, aucun rapport avec l'épidémie.
A qui fera-t-on croire que skier sur l'immensité du manteau neigeux, dans l'espace infini des Alpes ou des Pyrénées est plus contaminant que de s'entasser dans le métro?
C'est tout le contraire: le grand air des sommets, comme chacun le sait, donne des forces et de la vigueur pour lutter contre les maladies. Alors pourquoi le ski interdit? Parce que le ski, comme les voyages, comme la lecture, comme le cinéma, comme la marche solitaire sur les plages ou dans la forêt, comme tout ce qu'ils ont voulu interdire, est une source d'évasion. Dans l'immensité blanche et l'ivresse de l'altitude, l'homme est en communion avec le vent, les nuages et le soleil. Il se confond avec le ciel.
Aucun pitre mégalomane, aucun clown ou clownesse narcissique, aucun donneur de leçon liberticide, aucun rabâcheur pervers ne s'aventure sur les sommets.
L'asservissement, la bêtise et la lâcheté ne survivent pas au-delà de 1200 mètres d'altitude.
Une chose les dérange: ces dernières poches de liberté - et de bonheur - qui échappent à leur contrôle. Voilà pourquoi ils nous interdisent le ski.
Cette politique de pénitence collective est censée compenser et faire oublier l'une des pires faillites de ce dernier demi-siècle.
Mais patience, patience dans l'azur: tout cela se paiera.
Maxime Tandonnet
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