Le vaccin Covid de tous les dangers #4

Publié le 28 janvier 2021 par Observatoiredumensonge

2°) Un vaccin qui pourrait modifier durablement le génome humain, sans que ses promoteurs sachent sous quelle forme notre espèce risquerait de muter Chapitre 4

Par Daniel Desurvire

Chapitre 4

2°) Un vaccin qui pourrait modifier durablement le génome humain, sans que ses promoteurs sachent sous quelle forme notre espèce risquerait de muter

Pour ces deux praticiens, le confinement aura augmenté les affections psychosomatiques et les mortalités. En effet, c'est en créant des situations de détresse, en particulier chez les personnes âgées et isolées sous contrainte, qu'il fut constaté de dramatiques décès prématurés. D'autre part, jamais les médecins n'avaient autant prescrit d'antidépresseurs et de somnifères à raison de deux posologies sur trois ordonnances médicales. Les suicides dues aux fermetures et faillites de centaines d'entreprises, et de davantage de chômeurs encore, furent responsables de nombreux problèmes de santé, d'une paupérisation rampante, de divorces et de suicides. Mais pour se justifier, le ministère de la Santé a comptabilisé tous les morts en EHPAD ou en milieu hospitalier, quelle que soit la pathologie qui les a emportés, sur le compte de la corona, avec une rémunération discrète des professionnels qui voulaient bien jouer le jeu en inscrivant le Covid sur les actes de décès ! Curieusement, durant l'hiver 2020, aucune information ne relève les chiffres de mortalité autour de la grippe hivernale, à croire que l'influenza est synonyme de coronavirus !
L'UE a commandé 300 millions de vaccins, et la France plus qu'elle ne compte d'habitants (100 millions de doubles vaccinations ; source, Les Echos, 4 déc. 2020, Sébastie Mastrandreas). Une curiosité qui appelle la question, à savoir : à qui profite le virus ? Mais derrière les fourches caudines de l'angoisse que diffusent les médias serviles pour instiller la phobie parmi les populations, puis la pression des préfets pour que s'inscrivent partout, à la verticale et en numérique, les mesures de prévention à seule fin de rappeler que " nous sommes en guerre ", selon l'expression consacrée du chef d'État, la fièvre des contrats juteux et des bakchichs avec les laboratoires s'avère être un autre signe clinique d'hyperthermie : celui de la corruption.

En l'occurrence, pour justifier une commande de telle ampleur, il faut vacciner précipitamment et en masse sans y regarder de trop près, y compris les millions de réfugiés qui circulent sur le territoire métropolitain et dans les DOM-TOM ; la peur étant la piqure de rappel sur les écrans Tv, le digital, les autoroutes, les affiches, les centres commerciaux, les devantures, les publicités etc. Passé les premières semaines après chaque confinement, le nombre de séropositif (13) à la covid-19 explose de façon exponentielle, sachant que le test est gratuit et que nombre de personnes se précipitent pour se faire tester.
C'est alors que l'Exécutif se met à brandit le spectre d'une reprise pandémique ascendante, pour laisser entendre au bout du compte l'impératif d'une vaccination généralisée. Or, tous les sujets déclarés positifs sans pour autant présenter de symptômes - et il en est de plus en plus - même non infectés ou si peu (perte d'audition ou de goût temporaire), n'ont précisément plus besoin de ce vaccin, puisque l'immunité acquise les préserve. Le vaccin n'étant alors plus nécessaire pour une large partie de la population, cela ne fait évidemment pas l'affaire de l'État qui signe et persiste dans sa campagne de propagande terrorisante de vaccination (14) !
A contrario, les vaccins comme ceux développés autour de la covid, même bénéficiant d'une AMM sans le recul des dix années obligatoires, autant dire une AMM de compromis, comportent un risque de production d'autoanticorps ARN messager. De surcroît, parmi les effets indésirables (infection, paralysie, méningite, etc.), les conséquences délétères d'un tel produit non testé sur dix ans, peut endommager le métabolisme des sujets vaccinés de façon tout à fait imprévisible, y compris avec des effets retardataires. Or, dans les couloirs de la virologie proche des discours politiques, il se dit que l'incorporation d'un ARNm viral dans le génome de l'hôte serait improbable.
Cependant, ce n'est pas ce qu'il s'écrit unilatéralement dans les revues de la médecine scientifique. Alors puisque les avis des virologues sont partagés, pourquoi prendre aveuglément un tel risque, sans un minimum de recul quant aux conséquences subodorées par un tel vaccin ? N'est-il pas plus hasardeux de s'exposer à une vaccination dont les dangers potentiels restent à ce jour inexplorés (voir plus bas), plutôt que de courir le risque d'être rattrapé par la covid-19, à ce jour très affaiblie, nonobstant quelques effets indésirables ou opportunistes sur certains organismes, laquelle apportera sans doute sa couverture d'immunologie ?
Selon le docteur en génie des procédés, ingénieur conseil en innovation, Robin Cisneros, le processus d'incorporation d'un ARN étranger au patrimoine génétique d'un hôte nécessite ce que l'on appelle la rétro-transcription (ARN en ADN). Or, avant ces 40 dernières années, des scientifiques s'accordaient à affirmer que seuls les rétrovirus étaient capables d'une telle métamorphose, car ces organismes possèdent une enzyme dite retro-transcriptase. Pourtant, le dixième du patrimoine génétique humain est d'origine virale qui ne provient pas de rétrovirus. De sorte qu'il s'agit nécessairement d'une activité de rétro-transcription naturelle au sein des cellules hôtes. Ce constat appelle qu'il existe effectivement un risque de transmutation de l'ARN vaccinal vectorisé. Et l'auteur d'ajouter : " De sorte que l'ADN polymerase, responsable de la réplication de l'ADN, semble pouvoir transformer de l'ARN en ADN, adoptant ainsi le rôle d'une rétro-transcriptase ".
L'absence d'étude préalable sur l'incorporation de brins d'ARNm contenus dans ces vaccins-géniques injectés dans le génome des hôtes, ne laisse aucunement présager d'une véritable assurance quant aux conséquences induites puis ataviques par cette possible mutation d'ARN en ADN. La sagesse exige un principe de précaution, et non de la précipitation, alors que les pathologies dues à la covid-19 sont connues, mais pas les conséquences d'un tel vaccin génomique. Les politiques devraient plutôt s'inspirer du Vorsorgeprinzip du philosophe allemand Hans Jonas, des conditions d'éthique ainsi rappelées par Robin Cisneros :
" Agis de façon que les effets de ton action soient compatibles avec la permanence d'une vie authentiquement humaine sur Terre. Agis de façon que les effets de ton action ne soient pas destructeurs pour la possibilité future d'une telle vie. Ne compromets pas les conditions pour la survie indéfinie de l'humanité sur Terre. Inclus dans ton choix l'intégrité future de l'homme comme objet secondaire de ton vouloir ".
Dans sa sagesse, l'auteur rappelle la nécessité ex ante que l'ensemble des études relatives au risque d'incorporation d'un matériel génétique apporté par de tels thérapies - encore aléatoires - soient prolongées de façon approfondie, ne serait-ce que pour préserver l'intégrité de la chaîne carbonée du genre humain. Les risques, par la transmission de notre patrimoine génétique à travers l'incorporation d'un ARN mutant, peuvent impacter l'homme de façon irréversible, cela avec le concours de nos descendances successives. Reste que le monde politique s'emballe, se désintéresse autant de la destinée humaine que de celle de l'environnement, sachant que l'establishment oligarque, égoïste, infatué et cupide, n'a que faire de leurs contemporains. Entre médiocrité et vénalité, la morgue d'une poignée de dirigeants sur notre planète l'emporte sur la raison ; mais un pouvoir décadent qui prend le risque inconsidéré d'emmener le destin de l'humanité avec eux dans leur obscurantisme obituaire.
Dès lors que nous, le Peuple, ne sommes pas d'accord avec cette gouvernance prévaricatrice, il surgit du haut de leur tour d'ivoire des propos offensants, qui diabolisent autant qu'ils flétrissent notre honneur et notre intégrité. Selon la logique irresponsable de ces prétendues élites, les opposants seraient tous des populistes et les intellectuels non alignés sont des complotistes. Ne pas être en osmose avec la pensée unique de cette classe dominante, c'est produire des fake news. Mais ces énarques, pétris d'arrogance et de malignité contre leurs semblables, savent-ils vraiment qu'ils ne sont que des marionnettes entre les mains de ceux qui financent leurs campagnes électorales ? Quand donc les Français prendront-ils conscience de la réalité de ce monde pour reprendre enfin la main sur leur devenir, d'où celui de leurs enfants ?

FIN

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).

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[13] Le sérodiagnostic positif dans le sérum sanguin révèle des anticorps spécifiques à l'antigène dédié. De sorte que la personne décelée positive au covid-19 se trouve naturellement vaccinée, puisqu'elle se révèle " porteur sain ".

[14] Sur ce registre, les sites gouvernementaux ne répondent pas à cette exemption naturelle au vaccin, mais ils se contentent d'annoncer, pour éluder la question, que le vaccin n'est pas contrindiqué pour les personnes positives ne présentant aucun syndrome à la covid-19. Cette réponse est d'autant plus niaise que le vaccin ne saurait avoir d'effet contre un virus déjà neutralisé.

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synopsis : dans une réalité alternative, ce voyage entre la Terre et Sagittarius A, le trou noir de la Voie lactée, met en exergue les conséquences de nos mentalités projetées dans le sombre devenir de la planète. On y découvre l'inexorable destin d'une civilisation insouciante quant aux pollutions anthropiques qui annihilent la planète, ou les dogmes réducteurs que la social-démocratie hésite à repenser sous le sceau de ses labels complaisants...

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