Ces pervers, menteurs et manipulateurs, tuent à petit feu, une France qu'ils n'aiment pas et qu'ils méprisent : la France des " gens qui ne sont rien, des Gaulois réfractaires, des soixante six millions de procureurs et de ceux qui ne traversent pas la rue pour chercher du travail ".
Perversion sanitaire
Par Claude Picard
Nous sommes, aujourd'hui, gouvernés par des pervers dont Macron en est le chef. Plus précisément, c'est Macron, l'inénarrable altesse du casting, qui a choisi ses acolytes.
À son image ! Car lui-même est un pervers pur jus, probablement narcissique, et comme tous les pervers, mais plus qu'un autre, forcément manipulateur. Sans trop s'avancer, on peut également déceler chez l'homme un refoulement d'envies inassouvies qui, évidemment, ne regardent que lui. Mais le souci, c'est que cet homme est président de la République et que ses inhibitions induisent ses actions. Ce n'est pas par hasard que son besoin de s'affirmer, sans cesse, confère à sa soif de pouvoir des bouffées délirantes d'immodestie mal recadrée.
Ces pervers, menteurs et manipulateurs, tuent à petit feu, une France qu'ils n'aiment pas et qu'ils méprisent : la France des " gens qui ne sont rien, des Gaulois réfractaires, des soixante six millions de procureurs et de ceux qui ne traversent pas la rue pour chercher du travail ". Si l'on ajoute à ceux-là, les Gilets jaunes et les inconditionnels de la France éternelle, bannie par Macron - parce que " sa culture n'existe pas ", avait-il déclaré lors d'une réunion publique, alors qu'il n'était que candidat - ça fait beaucoup de monde. On peut donc facilement en déduire, sans rentrer dans des détails comptables, que Macron et ses compères n'aiment pas la majorité des Français - pas plus la France - et qu'ils n'aiment qu'eux-mêmes. Surtout, loin du quotidien des Français, ils ne subissent pas les mauvais traitements qu'ils leur infligent.
Ce gouvernement, particulièrement incompétent, qui a toujours fait n'importe quoi, n'en est plus à une absurdité près. La liste est longue, trop longue, mais on peut, tout de même, cibler quelques aberrations significatives instaurées depuis le début de la crise sanitaire. Et qui en disent long sur la confusion gouvernementale, mais aussi, plus grave, sur son glissement dictatorial : interdiction aux médecins de la liberté de prescrire, confinements ou couvre-feux à répétition et appliqués en dépit du bon sens, port du masque obligatoire même si vous vous baladez seul dans une forêt peu fréquentée ou au bord de la mer, mettre " mamie et papy dans la cuisine " le jour de Noël (déclaration du professeur Salomon, l'éminence grise de Macron)... Et l'on pourrait continuer ce réquisitoire encore longtemps, mais l'énoncé est déjà suffisamment affligeant.
Pour se maintenir, ce gouvernement autoritaire nous a suffisamment prouvé qu'il était capable de nous faire subir les pires brutalités. Mais ces violences n'affectent pas tout le monde de la même façon : un récent rapport de l'Oxfam révèle que, depuis le début de la pandémie, les plus grandes fortunes de la planète se sont refait une exorbitante santé financière, tandis que les pauvres sont encore plus pauvres et qu'ils devront attendre dix ans avant de retrouver leur pouvoir d'achat d'avant la crise. Donc, à qui profitent les mesures sanitaires ? La réponse est dans la question. Si certains en doutaient encore, Macron serait bien un président pour les riches. Rappelons-nous qu'il a été propulsé à son poste par la finance internationale avec l'aide des médias aux ordres qui, toutes, appartiennent à des grands groupes économiques. Sans la redoutable force de propagande des décideurs financiers, Macron n'aurait jamais été élu. Et la France ne subirait pas encore la perfidie de cette élection.
Il est temps que le peuple se décide à réagir. Sans réaction populaire, énergique et massive, Macron, profitant du désarroi moral des Français, réalisera ce pour quoi il a été élu : détruire la France, intemporelle et glorieuse, en finir avec ses petits commerces et ses petites entreprises, neutraliser sa culture et abolir son art de vivre, pour que le pays ne soit plus qu'une vaste zone commerciale spécialement aménagée pour les consommateurs compulsifs que seront devenus tous les Français. Consommateurs, mais vrais zombies. Masqués à perpétuité !
Claude Picard
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