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La vox populi face à un chef d’État en perdition

Publié le 18 février 2021 par Observatoiredumensonge
Emmanuel Macron s'est ouvertement insurgé contre les Français, qu'il semble ne pas aimer depuis la fronde des Gilets jaunes, lesquels auraient blessé son orgueil.
La vox populi face à un chef d’État en perdition

Par Daniel Desurvire

Le 21 janvier 2021, devant un parterre de journaliste, Emmanuel Macron s'est ouvertement insurgé contre les Français, qu'il semble ne pas aimer depuis la fronde des Gilets jaunes, lesquels auraient blessé son orgueil. Ce dernier a fustigé ses compatriotes en ces termes : " Nous sommes une Nation de 66 millions de procureurs " ! Son agacement, voire son hostilité contre la Nation va encore plus loin, lorsque qu'un horticulteur de 25 ans au chômage, l'avait interpelé, lors des journées du Patrimoine le 16 septembre 2018, pour lui expliquer les difficultés de sa situation, à laquelle le chef d'État lui aurait répondu : " Je traverse la rue et je vous en trouve du travail " ! Ce 25ème président de la République aura réussi à devenir le plus méprisant des dirigeants français, devançant certes d'un poil son prédécesseur pour son persiflage contre les " Sans dents " ; les vieux ou les pauvres qui n'ont pas les moyens de réhabiliter leur mâchoire ; une anecdote que produisit Valérie Trierweiler dans son ouvrage " Merci pour ce moment ".

Quant à François Mitterrand, jamais ce chef d'État saluait sa garde, hors caméras, ni ne donnait de poignées de main à son petit personnel à l'Élysée, voire esquissait un sourire complaisant, même un regard gratifiant vers les gendarmes qui assuraient sa sécurité à Latche, sa bergerie landaise. Ce n'était que devant les médias qu'il daignait saluer les foules qui l'acclamaient. Hormis ce vernis à son personnage glacial et distant, c'était plutôt sur la tombe du maréchal Pétain qu'il livrait un soupir de nostalgie du temps où il servait la France de la collaboration nazie à Vichy. Qu'attendent donc les électeurs de gauche en choisissant de voter socialiste ? De la compassion, du patriotisme importé de l'islam, une gestion sociale favorable au Peuple français ? Que nenni, car c'est précisément du côté du cœur des hémicycles parlementaires que les citoyens auront été les plus bernés et les plus saignés !
S'agissant de cette allusion désignant les procureurs comme des inquisiteurs contre sa gestion catastrophique, Emmanuel Macron aura renouvelé son incapacité à faire son mea culpa devant son incurie récurrente adoubée de mensonges eu égard à moult promesses jamais tenues, notamment depuis l'épidémie du Coronavirus. Si nous pouvons comprendre qu'il est normal de trébucher devant le maquis de l'inconnu, faut-il encore avoir l'honnêteté de le reconnaître ; l'humilité étant mieux perçue que la morgue ! Or, ce pensionnaire de l'Élysée s'est contenté de se retrancher derrière l'adage : " Celui qui ne fait pas d'erreur, c'est celui qui ne cherche pas ". Nous aurions plutôt envie de lui répondre qu'il vaudrait mieux qu'il ne fasse rien, car tout ce qu'il produit, jusqu'à ce jour, ne fait qu'ajouter aux turlupinades qu'il jouait jadis sur scène sous la direction artistique de sa professeure Brigitte.
Une précision pourrait apporter un quelque savoir à ce chef d'État, sinon le sortir de son narcissisme dont l'arrogance frise l'outrage, sachant que ses discours empesés et ses apostrophes pathétiques finissent par excéder les citoyens. Pour ce faire, rappelons à ce prélat du pouvoir régalien que le procureur de la République est habillé de la robe d'un avocat du corps social. De sorte que ce dédain affiché contre la vox populi n'est pas une posture digne d'un patron de l'Exécutif. En réponse, du berger à la bergère, ses requérants disposent du droit légitime de le renvoyer, le moment venu, dans ses foyers amiénois aux prochaines présidentielles, si tant est que, dans l'intervalle, il ne subisse pas l'humiliation d'une destitution certes méritée.

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).

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