(À la mère de notre père)Le soleil dans la véranda,éclaire ses vieille mainsà l’ouvrage repris d’hierqu’elle reprendra demainou peut-être pas - qui sait ?Elle a des cheveux blancs bleutés,la peau de parchemin,la voix frêle et pourtant ses mots,accordés à ses mains,rappellent son autorité...Elle se résigne, au demeurant,à n’aimer plus que les enfants;les autres l’ennuient à la finsous le soleil qui va et vienttandis que, dans la véranda,somnole le chien Attila...Peinture: Rembrandt van Rijn.