Ainsi les heures écouléesdans le temps impartiseront allées et revenues,et parfois échappées,perdues en toute déraison,disons: vilipendées...Et vous osez vous lamenter:hélas il faut quitterle bal ou l’on s’amusait tantalors que la baleinecontinue là-bas de chanter;et vous vous affligezau lieu de vivre ce moment ...Le philosophe dans les boiset son amie pianistes’envoient là-bas des billets douxsans s’occuper des heures,et le nuage se partageentre deux humeurs artistesdans la clairière de l’orageoù les mots s’abandonnentà la donne de la mélodie...De l’instant aux heures qui passent.regardez bien en facela beauté de chaque moment,et sa bonté, sa véritéà la lumière de maintenant...Peinture: Fabritius, Le chardonneret.