« Un jour je me suis donc mis à écrire, ignorant que je m'enchaînais pour la vie à un maître très noble mais sans merci. (...) Je trouvais cela très amusant - au début. Cela cessa de l’être lorsque je compris la différence entre ce qui était bien ou mal écrit et fis ensuite une découverte encore plus alarmante : la différence entre ce qui était très bien écrit et l’art véritable : une nuance subtile mais impitoyable. »
Truman Capote,
Préface à Musique pour Caméléons,
Folio pp 11-12