12 histoires de femmes (noires, pour la plupart) dans l’Angleterre d’aujourd’hui (et un peu d’hier), douze histoires avec entre elles des liens parfois (très) ténus. La couverture était sublime, la 4e promettait une myriade de prix prestigieux, je me suis dit : pourquoi pas ?En ouvrant, j’ai découvert 400 pages de courts paragraphes sans majuscules ni points. J’y suis allé avec circonspection, après 20 pages j’étais plongé dedans - la forme n’est pas une coquetterie, comme un flux de conscience par fragments (un vaccin parfait contre les paragraphes parfois interminables des romans façon étalier d’écriture). Et le fond ! On…