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Master’s Sun

Publié le 18 juin 2021 par Audrey @OliveBanane
Master’s Sun

SI tu aimais la série Ghost Wisperer avec la belle Jennifer Love Lewitt (j’étais fan ado)…

Master’s Sun

… Alors tu devrais aimer le Drama Master’s Sun (Netflix) une série de 2013 avec Kong Hyo Jin (qu’on peut voir dans pas mal de drama coréens comme When Camelias Bloom ou It’s okay, that’s love dont je t’ai déjà parlé) et le sexy So Ji Sub (j’éviterai cependant de commenter sa coupe de cheveu pour cette série, mais fais toi plais’ en commentaires si tu l’as vue ;p) que j’avais découvert dans Oh My venus !

Master’s Sun

On suit les aventures de Tae Gong Sil (Tae voulant dire Soleil en coréen, d’où le titre Master’s sun, le soleil du maître). La jeune femme a acquis la capacité de voir les fantômes, suite à un grave accident. Une capacité dont elle se serait bien passé et qui la terrifie profondément : il faut dire que contrairement à la série avec Jennifer LL, ici les fantômes sont souvent effrayants. Un soir de pluie, elle se fait prendre en autostop par Ju Jung Won, un jeune PDG ambitieux, et plutôt vénal. Elle se rend rapidement compte qu’en le touchant, les fantômes autour d’elle disparaissent. Elle s’accroche à lui comme à une bouée. Et lui fait tout pour se débarrasser d’elle. Comme elle s’accroche, ils passent un marché. Il veut bien l’aider à fuir les fantômes si elle accepte de l’aider à prendre contact avec l’un d’entre eux lié à un drame de son adolescence. Une drôle de relation débute donc entre eux.

Pourquoi on regarde ?

Franchement, même si la série ne casse pas une patte à un canard, elle est assez marrante ! Les deux héros sont aux antipodes l’un de l’autre : plus elle s’accroche, plus il la repousse…

Master’s Sun
Master’s Sun
Master’s Sun

Mais bien entendu, cette relation va les faire grandir : en prenant confiance, Gong Sil devient de moins en moins pathétique, et lui s’ouvre peu à peu. Les voir cheminer l’un vers l’autre est plutôt amusant, notamment à travers le regard du secrétaire particulier du jeune PDG de Kingdom.

Chaque épisode tourne autour d’une nouvelle histoire de fantômes et met Tae Gong Sil dans des situations plus incongrues les unes que les autres. Et si la jeune femme a le malheur de boire de l’alcool, elle ouvre la porte aux fantômes qui la possèdent, créant là encore des scènes assez drôles.

Master’s Sun

Le premier épisode laisse à croire que la série côtoie l’horreur, mais au final les fantômes ne sont pas si effrayants que ça…

En fil rouge, la mission que lui a confié Joo Joong Won : communiquer avec le fantôme de Cha Hee Ju, pas très coopératif !

Master’s Sun

Bien sûr comme souvent dans les dramas, y’a des côtés un peu plombant :

  • le fameux triangle amoureux qu’on retrouve systématiquement dans les romances coréennes
  • l’actrice principale a un jeu parfois un peu plat, ce qui plombe un peu l’histoire. Il faut dire aussi que la psychologie des personnages n’est pas non plus très creusée, ce qui ne doit pas aider.
  • la manie aussi de faire parler les personnages tout haut, pour éviter de s’encombrer d’une voix off, qui fait ca dans la vie ????
  • Il faut aussi noter que l’alchimie entre les deux protagonistes ne saute franchement pas aux yeux…
Master’s Sun

Malgré cela, le scénario est assez original par rapport à certaines K-romance que j’ai déjà pu voir (me remonte un souvenir douloureux de la série Something in the Rain… encore aujourd’hui, je ne comprends pas comment j’ai fait pour arriver au bout des 16 épisodes)…

Master’s Sun – 17 épisodes d’une heure à voir sur Netflix


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