L’expo du Chat de Geluck, actuellement sur les quais de Bordeaux, mérite d’être vue sous tous les angles et pas seulement de face. Prenons l’exemple du chat docteur :
A première vue, une scène mignonnette. Un chat de cartoon devenu médecin pour autres animaux, y compris les oiseaux. Le monde est un conte de fée, et puis on a bien le droit de rêver, quant à l’auteur — monsieur Geluck —, il fait bien ce qu’il veut de son personnage. Tournons néanmoins juste un peu autour du félin de bronze, et là, la vérité éclate, le chat fomente, l’instinct revient :
Le Chat est donc un chat ordinaire, pas plus toubib que moi supérieure de couvent. Un vrai chat, comme j’ai pu en voir un il y a peu dans les herbes folles, le mulot couinant encore dans sa gueule (photo floue, j’ai fait ce que j’ai pu, le chat était rapide) :