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1938 à 2021 : il n’ y a qu’un pas !

Publié le 19 août 2021 par Observatoiredumensonge

Conseil constitutionnel et collabos...

1938 à 2021 : il n' y a qu'un pas !

Par Daniel Desurvire

Conseil constitutionnel et collabos I - Petit rappel du climat orchestré par l'État-Macron

Le Conseil constitutionnel a validé une loi contraire à la Constitution, car liberticide, ségrégationniste et tyrannique. Pourquoi ! Devinons sans peine que l'auteur de cet incroyable camouflet à la démocratie ne saurait autrement qu'être l'œuvre d'un autocrate qui n'accepte que lui-même dans la hiérarchie des pouvoirs. En l'occurrence, cet exterminateur des libertés, en la personne d'Emmanuel Macron, aura réussi l'incroyable record d'annihiler quelques 230 ans d'histoire révolutionnaire, en massacrant les textes législatifs, en confisquant les audiences au deux chambres parlementaires et au système judiciaire, en plaçant les citoyens français en résidence surveillée comme s'il s'agissait de repris de justice.

Tout cela en usant d'un mobile fallacieux : un virus qui n'a rien fait de plus que la grippe dite de Hong Kong, la souche A(H3N2), laquelle provoquait des œdèmes pulmonaires et des expectorations de sang, causant en France 31 000 morts. À cette époque, entre décembre 1969 et janvier 1970, il n'y eut ni état d'urgence, ni confinement, ni couvre-feu, mais les services sanitaires français avaient les moyens de soigner les malades, disposait du personnel et du matériel nécessaire, dont des équipements en réanimation et des lits en soins intensifs.

Qu'en fut-il sous la législature présidentielle d'Emmanuel Macron ? Tout le contraire, puisque depuis la législature de son prédécesseur, des dizaines de milliers de lits en réa, de places et de matériels furent supprimés ainsi que de nombreux d'emplois dans les établissements hospitaliers, avec la purge drastique des séjours d'accueil en soins et l'étranglement des moyens sanitaires par la politique irresponsable de réduction des coûts de production. De sorte que le pays, en pleine crise épidémique durant la première moitié de l'année 2020, aura été contrainte d'envoyer ses malades se faire soigner dans les pays voisins, comme si la France était désormais devenu un pays du tiers-monde. Pire encore, pour ne pas encombrer les hôpitaux, les pensionnaires des Ehpad furent rivotrilisé à l'aide d'un décret facilitant l'accès à une molécule létale ; leur sédation sur place permettant de libérer des lits dans les CHU.

Tous les prétextes furent bons pour comptabiliser les morts, même ceux qui ne le furent pas de Covid-19, en trafiquant les certificats de décès par la corruption financière. Cette mascarade et ces crimes sur nos séniors taxés de vies résiduelles, ne furent fomentés que pour instaurer la peur et faire accepter au peuple français des mesures d'enfermement et d'éradication des libertés. Entre les patients souffrants de maladies diverses qui n'avaient plus accès aux CHU et les remises aux calendes grecques d'interventions chirurgicales, l'excuse captieuse de Covid était évoquée dans les médias et les textes du Gouvernement pour prétendre sauver des vies, et faire croire que l'Exécutif focalisait tous ses moyens dans un but sanitaire et à dessein honorable.

Seulement le tiers des décès annoncés par le coronavirus en France furent effectifs, la différence revenant aux tricheries comptables des services de l'État pour servir une propagande politique et instaurer un climat anxiogène. Cette psychose collective aura simultanément provoqué des pathologies psychiques et somatiques, des suicides, des divorces, des ruptures d'études estudiantines et des faillites professionnelles par cessation d'activité ou des paiements. Les ordonnances médicales de somnifères et les neuroleptiques faisaient pléthore, et les médecins libéraux constataient une fièvre de pathologies dépressives chez leurs patients. La débâcle économique, nonobstant des aides seulement retardataires, prélevées sur les caisses des cotisants et des contribuables, sonnent aujourd'hui la charge d'une catastrophe globale annoncées unanimement par les instituts socio-économiques indépendants.

Jamais une telle calamité sociale, économique et financière n'aura brisé la France aussi vite et autant que la politique de destruction de l'État-Macron depuis la dernière Guerre mondiale. Puis vînt le vaccin miracle, sorti des laboratoires d'apprentis-sorciers, qui donna corps à l'excuse de cette gabegie nationale, mais aussi mondiale eu égard aux lobbyisme du Big Pharma, du Big Data d'où les Gafam, des marionnettistes de la haute finance mondiale, dont la grande confrérie du W ord Economic Forum de Davos (WEF, Great Reset) et du Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Dans cette vaste conjuration, la réalité, pour les citoyens, est enfouie dans les strates de la corruption politique et de la prévarication à tous les étages de ces mises en scène macabres, où se conjuguent le pouvoir et le profit.

Derrière l'excuse de cette pandémie, la Covid, qui aura quasiment cessé de tuer dès le mois de novembre 2020, ne laisse que de présumés malades dès lors que ceux-ci sont testés positifs, afin de perpétuer le plus longtemps possible la peur d'un virus, dont la contamination a été désactivée, au fil de ses mutations, de son agressivité pathogène. Vraisemblablement surpris par la survenance brutale de cette pandémie qui traversé tous les continents, il est raisonnable d'admettre que les mesures de confinements prises au départ, dès le premier trimestre 2020, aient été animées par la peur de l'inconnu. Or, dans le semestre qui suivit, il aura paru évident que la Covid-19 n'était ni le virus Ébola, ni autre peste dévastatrice, en tout état de cause bien moins que la grippe dite espagnole et pas davantage que la grippe dite de Hong Kong vue plus haut.

Ce pourquoi, les prolongements drastiques et liberticides qui suivirent furent fatalement animés par d'autres intentions, davantage liées à des profits autour de contrats opaques donc juteux, qu'à de prétendues mesures prophylactiques annoncées avec fracas par des dirigeants politiques possiblement en affaire avec les industries pharmaceutiques. Tel est le cas notamment avec Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, l'épouse du directeur Heiko Echter van der Leyen directeur médical d'Orgenesis Inc. ; Société de biotechnologie spécialisée dans les thérapies cellulaires et génétiques (Source, Alexandre Goldfarb, OdM du 4 août 2021). De tels liens suspects ne sauraient être innocents, sachant qu'il existe une relation avec les décisions judiciaires de bioéthique et de santé, ainsi le jugement rendu par la CEDH du 20 mai 2021 (n° 49933/20), où les mesures de confinement furent comparées à des mesures d'assignation à résidence par les plaignants, à l'appui de l'article 5, § 1 de la Convention des 1950 qui protège le droit et à la sûreté (Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, Rome, 1950).

Mais la Cour aura bizarrement statué en faveur d'une prétendue préservation de la vie humaine, alors même qu'à cette date, la mortalité par suite d'infections à Covid-19 était réduite à presque rien en Roumanie où la procédure fut lancée, comme en France et dans l'espace Schengen. En échange, EudraVigilance (réseau européen des études cliniques sur les médicaments dans l'EEE) annonçait 11 000 décès dus aux vaccins anti-Covid sur le vieux continent (ex. : vaccination Vaxzevria d'où le syndrome thrombopénique [STT]) ! Comprenons bien que si l'Exécutif ne peut plus annoncer de mortalité, même sous le manteau de comorbidité et de tricheries aux certificats de décès, cela constitue la preuve que le virus n'a plus d'effet gravement nocif sur la santé des populations, à quelques exceptions près qui ne font pas la règle. Or, il faut néanmoins écouler les vaccins - corruption oblige, - voire surdoser les prescriptions de deux à trois injections par individu, pour liquider les commandes massives orchestrées par les lobbies du Big Pharma. Même si les recettes vaccinales deviennent obsolètes, cash-flow, bakchichs et passe-sanitaires sont toujours en embuscade !

Rien ne semble pouvoir stopper les ardeurs calamiteuses de dirigeants, tels Emmanuel Macron et sa cour de catéchumènes exaltés. Ce chef d'État se trouve doublement servis par l'inertie de nos compatriotes, pour inventer de nouveaux scénarii mortifères, afin de maintenir la psychose et peaufiner sa dictature présidentielle. Durant ce carnavalesque chantier de vaccinations à l'aide de formules rapidement obsolètes, sans essais cliniques ni principes de précaution observés, ces prétendus antidotes n'empêchent nullement la propagation du virus, voire en augmente la contagion par le processus-même des vaccinations qui favorisent les mutations virales (les variants de l'alpha à l'oméga). De sorte qu'il faudra déjà un troisième rappel, puis des renouvellements de séries vaccinales tous les ans, voire tous les semestres. Puis un passe-sanitaire fut légiféré et réglementé, obligeant tous les citoyens à le présenter pour les choses de la vie courante et à le mettre sans cesse à jour, autorisant la ségrégation et les licenciements arbitraires. Comme si cela n'y suffisait pas, un passeport fut introduit pour les salariés et les demandeurs d'emploi, dit de prévention, avec en filigrane les mêmes motifs et les mêmes sanctions civiles et pénales, toujours pour contraindre et asservir.

Voici dressé un tour d'horizon de cette chute en avant, ici dénommée le péril de l'État-Macron, non spécifiquement virale mais politiquement organisée, dont le lecteur trouvera moult détails informatifs dans mes précédents articles et ouvrages publiés par l'Observatoire du Mensonge. Cette sinistre ambiance maintient le noir décor tissé de fake news par ces élus, lesquels profitent du désarroi et du chaos qu'ils organisent à l'aide des médias serviles, tout en censurant les informations qui mettraient en défaut leurs inquiétants projets. Pour ce faire, la liberté d'expression se mue en délit d'opinion, les sanctions civiles et pénales rôdent autour des opposants, intellectuels et autres patriotes actifs. L'inquisition fomentée par le pouvoir régalien est organisée d'un côté entre des légions de mercenaires médicaux, soutenus par des miliciens collaborateurs fidèles au régime sous l'empire d'une nouvelle ségrégation, et par ailleurs combattue par les citoyens qui refusent de servir de cobaye et de receleurs de dirigeants corrompus, puis de se prêter à cette stratégie de passe sanitaire conçue pour ficher chaque profil, manipuler les opinions et neutraliser le libre-arbitre des électeurs.

Suite et fin demain

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).

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