Si je vous dis : « C’est l’histoire de quatre femmes d’une même famille échappées d’un institut pour déficients mentaux et qui se retrouvent en colloc précaire à Barcelone », je sens que je titillerai votre curiosité qu’avec modération.
J’aurai peut-être un peu plus de chance si j’ajoute que l’une d’elles est nymphomane (petit·es polisson·nes) et qu’une autre se pique (avec un sacré piquant) de radicalité féministe, et qu’un groupuscule anar (grandioses comptes-rendus d’AG) se met en tête de leur trouver un logement à okuper (sic)…
Après le Fille, femme, autre de B. Evaristo, je crois bien que c’est là mon…