J’avoue, j’ai eu peur. Du récit d’adolescence à la première (grande) personne. Du premier-roman-souvenir. J’ai lu les trente premières pages en me demandant à quoi pouvait bien servir un roman de situer un roman d’ado dans les années 90, avant les smartphones et les réseaux sociaux qui ont (mais je m’abuse peut-être) tout changé aux années…