Probablement parce-que la Garonne à Bordeaux est trop limoneuse pour que l’on y voit quelque chose, dès que je croise un fleuve à l’eau transparente, je m’esbaudis, m’esclaffe et m’enthousiasme, parce-que, enfin, on peut voir ce qu’il y a dedans.
À Paris, le long de l’île aux Cygnes, l’eau est ainsi suffisamment limpide pour que l’on puisse y voir des poissons, comme ici ce qui semble être un chevesne :
Plus surprenant si près du bord, et surtout de taille franchement imposante, voici un silure :