Pas le temps d'écrire

Et pourtant, c'est pas parce que je passe tout mon temps à la plage (avec le temps qu'il a fait cette semaine qui m'a fait ressortir veste et bottes, ça n'aurait pas été possible -mais bon, je me tais, le soleil est bel et bien revenu)...
C'est pas non plus parce que je passe tout mon temps avec Mr Husband, rentré dimanche dernier avec un gros rhube et un méchant décalage horaire qui l'a assommé pour quelques jours, et déjà reparti, dans le Nord cette fois-ci.
Pas le temps d'écrire ces temps-ci, parce que je travaille comme une malade. Le chapitre de la bibliothèque pour le rapport annuel à venir, une demande de fonds pour un projet excitant mais qui reste à définir plus précisément, sauf que le deadline pour envoyer la demande, c'est très très bientôt, l'anniversaire d'AV, une table d'information pour la Gay Pride à préparer, puis à animer, des gens à informer, j'en passe et des meilleures (comme par exemple la distribution des "Safer sex kits"). J'en ai tant sur la planche avant le départ en vacances que j'ai des petites crises de panique de temps en temps. Mais ça ira, je le sais, on finit toujours par surmonter la vague.
En attendant, le blog est un peu parti aux oubliettes. Mais je trouve quand même le moyen de m'exprimer autrement. Radiophoniquement par exemple.
Et puis je termine bientôt un petit billet sur mon top 5 (ou 10 si j'ai de l'inspiration) des "à faire, à voir" à Vancouver.