Je sais que tu es dans mes larmes,mais je fais comme sirien ne pouvait me désarmer -tu es ma force aussi…Je ne sais où tu es parti,me disait-elle parfoisquand j’allais seul là-bas dans la nuità l’écoute de je ne sais quoiqu’elle aimait lire entre les mots -les mots indéfinisque je lui murmurais ensuite…Tu es la vague qui me soulève,dans l’air comme allégéet toi la mer où je me perds,aux rives oubliées,disiez-vous en écho…Dis-moi quelque chose ce soir,que j’entende ta voixjuste ta voix des beaux matins,dans le noir du chagrin…(Peinture: Edvard Munch)