Le rouet incrusté au milieu des ressors
Joue dans le quartz vivant que la nuque retient.
Les murs de labyrinthes dedans et dehors,
S’empoudrent au cordeau de chaque fil de soie.
La précieuse tension de sa lame soutient
Les wagonnets de mots que versent les émois.
Est-ce que le temps se vide ou qu’il nous épuise,
Une lande sans plus de caches ou de creux,
Paradoxe du grandissant qui amenuise,
Ne fait plus voir que l’un et l’autre en plein milieu.
Le mouvement sans fin enroule ses arcanes,
Mieux vaut sans doute ne plus vouloir leur répondre,
Se laisser enlever de son soi-seul, insane,
Et dans l’immense insu qui reste, aller se fondre.
N.b. Laisser passer encore un voyage prévu.
Et ne pas négliger d’autres ondes connues.