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Neuvaine à la Miséricorde divine donnée par sainte Faustine - 7 ème jour

Publié le 21 avril 2022 par Crioult

Neuvaine à la Miséricorde divine donnée par sainte Faustine

Chapelet de la Divine Miséricorde

Neuvaine à la Miséricorde Divine que Jésus a demandé d’écrire et de réciter à sainte Faustine avant la Fête de la Miséricorde.

La neuvaine est une des dévotions à la miséricorde divine. On la commence le Vendredi Saint. 

« Je désire que, durant ces neuf jours, tu amènes les âmes à la source de ma Miséricorde, afin qu’elles puisent force et soulagement, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie et particulièrement à l’heure de la mort. Chaque jour tu amèneras jusqu’à mon Cœur un nouveau groupe d’âmes et tu les plongeras dans l’immensité de ma Miséricorde. Et moi je les conduirai toutes dans la maison de mon Père. Tu feras cela dans cette vie et dans l’autre. Je ne refuserai rien à toute âme que tu amèneras à la source de ma Miséricorde. Et chaque jour tu imploreras mon Père, au nom de ma douloureuse Passion de t’accorder des grâces pour ces âmes-là. J’ai répondu : Jésus, je ne sais comment faire cette neuvaine, ni quelles âmes conduire tout d’abord à Votre Cœur Très Miséricordieux. Jésus me répondit qu’Il me dirait chaque jour quelles âmes je devais conduire à Son Cœur ».

Septième jour

« Aujourd’hui, amène-Moi les âmes qui vénèrent et glorifient particulièrement ma Miséricorde et plonge-les en elles. Ces âmes-là ont le plus partagé les souffrances de ma Passion. Ce sont elles qui ont pénétré le plus profondément en mon âme. Elles sont le vivant reflet de mon Cœur Compatissant. Ces âmes brilleront d’un éclat particulier dans la vie future. Aucune n’ira en enfer. Je défendrai chacune d’elles en particulier à l’heure de la mort ».

Très Miséricordieux Jésus dont le Cœur n’est qu’amour, recevez dans la demeure de votre Cœur très compatissant les âmes qui vénèrent et glorifient plus particulièrement l’immensité de votre Miséricorde. Dotées de la puissance même de Dieu, elles avancent confiantes en votre Miséricorde au milieu de tous les tourments et contrariétés. Ces âmes sont unies à Jésus et portent le poids de l’humanité entière sur leurs épaules. Elles ne seront pas jugées sévèrement, mais votre Miséricorde les protègera au moment de l’agonie.

L’âme qui célèbre la bonté du Seigneur
Est, de Lui, tout particulièrement chérie.
Près de la source de vie, elle a trouvé demeure,
Et puise mille grâces en la Miséricorde de Dieu.

Père Eternel, daignez jeter un regard de Miséricorde sur les âmes qui célèbrent et vénèrent votre plus grand attribut : votre infinie Miséricorde. Enfermées dans le Cœur très compatissant de Jésus, elles sont un vivant Evangile. Leurs mains sont pleines d’actes de miséricorde. Comblées de joie elles chantent l’hymne de la Miséricorde du Très-Haut. Je Vous en supplie, manifestez-leur votre Miséricorde selon l’espoir et la confiance qu’elles ont mis en Vous. Que s’accomplisse en elles la promesse de Jésus qui a dit : « Je défendrai leur vie durant, comme Ma propre Gloire, les âmes qui vénéreront mon infinie Miséricorde. Je les défendrai tout particulièrement à l’heure de la mort ».

Comment réciter le chapelet à la Miséricorde Divine ?

Le Seigneur explique à sainte Faustine comment prier le chapelet à la Miséricorde Divine :

« Tu la réciteras (cette prière) (…) sur un chapelet ordinaire de la manière suivante :

– tu diras d’abord un «Notre Père», puis un «Je vous salue, Marie » et le « Je crois en Dieu ».

– Ensuite, sur les grains du « Notre Père », tu diras les paroles suivantes :

« Père Éternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Âme et la Divinité de ton Fils bien-aimé, notre Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier».

– Sur les grains du « Je vous salue Marie », tu diras les paroles suivantes :

« Par sa douloureuse Passion, sois miséricordieux pour nous et pour le monde entier ».

– À la fin, tu diras trois fois ces paroles :

« Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Éternel prends pitié de nous et du monde entier » (Petit Journal, 476).


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