Le 8 mai, lorsqu’ici même j’ai décrit l’ouverture de la saison de la pêche aux palourdes, je n’ai pas tout dit. J’ai pêché par omission (mais j’ai quand même tout mangé, tellement c’était bon). Il n’y avait pas que des palourdes. Il y avait aussi des coques, ce qui est habituel. Et aussi des lavagnons : des genres de tellines à la coquille moins allongé. Des petits bivalves bien planqués, plus profonds encore que les palourdes, qu’il faut sortir avec délicatesse tant la coquille est fragile. À la pêche aux lavagnons nous retournerons.