La météo pourrie d'aujourd'hui, vers Avi/gnon, ressemblait donc à ça :
...Ce qui, il faut bien le dire, m'aurait plus incité à sauter en parapluie qu'en parachute. Mais bon. A l'aéroclub de Pujaut, ils ne font pas ça. Mon saut ( avec vidéo ) se trouve donc reporté à Mardi prochain. Le 19 Aout. Ca me laissera le temps de prévenir les copines... (Qui m'ont offert ce super-cadeau-d'anniversaire, et parmi lesquelles certaines tiennent à être présentes. ) Diable. En plus de devoir affronter le vide, je vais devoir faire ça en public... Et faire un effort pour ne pas devenir vert, ne pas vomir mon déjeuner, ne pas faire une crise d'hystérie, et... Rester cool... Haha. Enfin bon. Comme j'aurai Guilhem ( mon fiston) avec moi, faudra que j'assume, de toutes façons.
Du coup, aujourd'hui, je n'ai rien de plus à faire qu'à glandouiller. Enfin bon. Je dis ça. Si j'étais raisonnable, je ferais un peu de ménage, chez moi, surtout dans mon atelier qui commence à devenir un vrai foutoir ...
Mais bon. Au lieu de ça, ce matin, dès l'aurore, je suis allé me promener sur le site de Sky-dive, ( histoire de repérer où se trouvait ce pffftain d'aérodrome de Pujaut. )
Le carré vert, au milieu, c'est ça. Et c'est presque ce genre d'image que je serai censé voir, d'en haut. Foutredieu!... 4000 mètres, ça fait haut.
Enfin bon. S'il fait un temps si pourri, actuellement, c'est probablement à cause du fait que j'essaye de rattraper toutes mes lessives en retard. Comme d'habitude, quand j'ai du linge à étendre, il pleut.
Thomas dirait que c'est normal, puisqu'après couru à droite et à gauche pendant qu'il faisait beau, j'ai laissé mon tas de linge sale atteindre un seuil critique, pour ne m'en rendre compte ( forcément ) qu'une fois les beaux jours finis, et les vadrouilles terminées...
Moi non. Je préfère y voir la volonté divine, la loi de Murphy, l'oeuvre du destin, ou je ne sais quelle connerie, beaucoup plus amusante en soi que toute cette épouvantable logique si carrée, ce rationalisme si étroit, dans lequel les cerveaux finissent par s'étioler. Hum. Enfin bon. Je dis ça pour moi. Parce qu'au fond, ce n'est pas plus mal, que mes gamins aient les pieds sur terre ( Ou en tous cas, un peu plus que moi ) .
Toujours est il qu'après avoir rentré, ressorti, rerentré, ressorti et reétendu mon linge, qui maintenant est de nouveau trempé, selon les bons vouloir de la météo, j'ai oublié d'aller faire les courses, et que mes chats commencent à se lasser des croquettes...
Ces bougres de couillons veulent de la bouffe en boîte, ( celle qui est molle et qui pue ) et ils me le font sentir. Ou plutôt, ils me le font remarquer, en me collant aux basques, et en dédaignant celle qui se trouve dans leur gamelle... ( Qui est dure, et qui, à force de stagner là, a perdu son parfum de poisson pourri. ) Non mais et puis quoi ?...
Ne serait-ce que pour leur montrer que je ne suis pas à leurs ordres, je n'irai leur
acheter leur ronron à la con, que.... Heu... Plus tard.
Hier, j'ai quand même fait un peu de rangement, heu... Dans mes cartons à dessins. Pfff. C'est incroyable ce qu'on peut accumuler comme merdes-qu'on-n'ose-pas-jeter.
J'ai donc retrouvé de vieux dessins tous pourris, jamais exposés. Du coup, moui, je vais en planter quelques un ici, histoire de heu... De prendre mon temps, avant d'aller faire les courses... Histoire aussi faire le tri entre certaines vieilles choses que je n'assume plus, et d'autres que je trouve quand même rigolotes, avec le recul...
( c'était ma période aquarelle... )
( Peut-être liée à une période de bricolage, aussi ...)
( Mais comme celle là est aussi gondolée que de la tôle ondulé, je ne l'aie jamais exposée )
commise en pleine séparation d'avec ma dernière ex ?... Wooooh.
Je crois que c'est le côté hyper castrateur du couteau qui m'a retenu.
Haha.
....Bon c'est pas le tout, mais j'ai des courses à faire, moi.
A suivre, donc.