Il fallut bien se résoudre au retour à la vie normale, revenir vers le lycée, comme tous les ans à la même date ou presque. Et, pour trouver force et courage, il y eut une ultime matinée de pêche à pied, à patauger dans la vase à la recherche des coques et palourdes.
Se souvenir qu’au fond de nous, aussi citadins que nous prétendons être, nous restons foncièrement des « culs salés ».