Des voix se mêlent à l’orée,la glace se dérobedans la nuit du temps qui vacille;on dirait au fond de l’orbeque des échos scintillent...Ils invoqueront la ressourced’avant les glaciers éperdus,d’avant le dernier glas,quand le temps de la force doucen’était qu’implorationdevant l’arbre qui pousse...Que l’enfant vous reprenne en mains,grisailles sans coeur,débris de résurrections ,potences et gibets -que l’enfant vous brise en douceur ...Peinture JLK: L'enfant perdu.