Vole, vole l’oiseau.
De branche en branche, d’arbre en arbre, d’arbre en toit, de toit en clocher et de clocher en village, toujours plus haut, toujours plus loin, libre.
Marche, marche l’homme.
De rue en rue, de quartier en quartier, de quartier en ville et de ville en pays, toujours plus vite, toujours plus loin, prisonnier.
Puis, l’homme qui marche capture l’oiseau qui vole.
L’homme prisonnier enferme dans une cage l’oiseau libre.
L’homme vole à l’oiseau sa liberté. Pourquoi ?