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Des médecins tirent sur l’ambulance

Publié le 02 avril 2023 par Georgezeter
Des médecins tirent sur l’ambulance

Insensé !!! " Covid-19 : les médecins en colère après l'annonce de la réintégration des soignants non-vaccinés " titre le Figarotte. Ils ont les boules de pétanque suite à l'annonce du ministre de la Santé François Braun qui lèvera l'obligation de vaccination contre le Covid-19 chez les soignants, suivant ainsi l'avis de la Haute autorité de santé.

En septembre 2021, une obligation avait été requise concernant 2,7 millions de personnes : tous les soignants, personnels hospitaliers, ceux des maisons de retraite, les ambulanciers, les aides à domicile ou encore les pompiers. Faute d'attester d'un schéma vaccinal complet (deux, puis trois doses), quelques milliers d'entre eux furent depuis lors suspendus sans rémunération ou chômage (alors qu'ils avaient cotisé). 4000 professionnels dont 500 infirmiers, selon la Fédération hospitalière de France, suspendus de leurs fonctions pour avoir refusé la vaccination obligatoire depuis 2021 contre le Covid-19, ils vont donc théoriquement pouvoir reprendre leurs fonctions prochainement.

Pourtant, ces pseudo-vaccins n'ont protégé ni contre la transmission ni contre la maladie ; Admis par les responsables de Pfizer et Moderna eux-mêmes. Le dernier argument c'est que l'injection protégerait des formes graves ; Alors que les injections multiples produisent justement des formes graves de thromboses et d'AVC. Néanmoins...

Certains professionnels de la santé, dont la quasi-totalité s'étaient fait vacciner, s'élève contre la levée de cette obligation et la réintégration des soignants qui avaient été suspendus. L'un d'entre eux, le chef des urgences du centre hospitalier Delafontaine, le tonitruant docteur Mathias Wargon, devenu dans les médias l'un des fers de lance de la promotion du vaccin face aux doutes des récalcitrants, s'en est ému ce vendredi matin sur RMC : "en s'en prenant aux politiques qui font " On a porté la campagne de vaccination, s'est-il agacé, on s'est pris des seaux de matière fécale - pour être poli - sur la tête, sans grand soutien du gouvernement, [...] et d'un seul coup on nous dit même pas merci et finalement on va les réintégrer, [...] on lâche, quoi ". Vous avez dit Wargon ? Celui qui benoitement avoue " Bien sûr que l'on fait du tri aux urgences. [..] Quand on a du monde, on a une petite tendance à renvoyer des patients. Beaucoup de gens seraient mieux traités en ville. " En plein déni, car trouver de nos jours un médecin de ville qui prend un patient en urgence...Mieux vaut s'en aller aux urgences, car un RDV avec un carabin est impossible. Quand il nous dit " on a une petite tendance à renvoyer des patients. " Ahah, c'est une GROSSE tendance, le patient qui a croupi deux jours sur un brancard est expédié chez lui avec une ordonnance rédigé par un doc Follamour : anti-inflammatoire, opioïdes, et autres trucs qui détraquent la santé et enrichissent les labos. En 2021, docteur-déni clamait du beurre sur les dos des antivax pour gagner des points dans les sondages " et pointait " les politiques qui désinforment mes patients sur les réseaux sociaux sur des faux effets secondaires du vaccin. " [i] Ce brave Wargon est sur les rails du déni depuis la première aurore de la vaccination et n'en démord pas sacrebleu !

, infectiologue à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches sur BFMTV, " Quant à ce doc Benjamin Davido en prenant cette décision le gouvernement a voulu s'ôter une épine du pied. " Et ajoutant : " On donne le bâton pour se faire battre. J'ai souvent des patients qui me demandent si je suis vacciné. En leur répondant 'oui', je peux leur dire que le vaccin n'est pas dangereux, qu'il permet de réduire de 50% le risque d'infection. Avec cette levée, il y a un risque de crédibilité du médecin, qui n'est plus sur son piédestal d'exemplarité. " Son PIEDESTAL...Les bas m'en tombent sur les chaussettes ! Voila comment il se voit m'sieur l'infaillible. Il oublie qu'une bonne partie du corps médical de ville a accepté que sa main soit tenue par BIGpharma lorsqu'il fallait rédiger l'ordonnance, que le seul " traitement " était un Doliprane ou rien ! Ensuite, destination les urgences sous assistance respiratoire. Le serment d'Hippocrate au service des piquouses, grassement rémunéré à l'acte. La plupart de ces pétochards en blouse blanche foutaient la trouille aux patients ou encore pire, les faisaient culpabiliser, comme étant des bombes sanitaires à retardement sur pattes. Le pire ; ce docteur Davidiot, aggrave son cas en affirmant que : " dire que le vaccin n'est pas dangereux, qu'il permet de réduire de 50% le risque d'infection. " Jamais prouvé, bien au contraire. C'est ce type de médecin TV qui trainait dans la boue le professeur Raoult...Depuis le Covid et l'indignité de pas mal de ces médecins, on a tous perdu confiance en ces VRP des labos. Heureusement que quelques-uns montèrent aux créneaux afin de défendre les veufs/veuves et les opprimés contre une médecine à coups de cachetons, cachetonneuse.

Un autre de ces docTV : " On est profondément écœurés, et c'est un sentiment collectif ! " déclare le Dr Jérôme Marty, médecin généraliste et président de l'Union française pour une médecine libre, qui s'est également beaucoup impliqué dans la promotion de la campagne de vaccination. " Cela va créer des tensions dans les services, et surtout, ceux qui ont perdu leur poste, ce sont les plus extrêmes! Ils vont faire du prosélytisme antivax ! " [ii] a-t-il ajouté, craignant une hausse des tensions entre collègues au sein des services. Ben oui cher doc-cathodique, les antivax prosélytes vont insuffler leurs venins mortels aux patients, car, déjà ils n'auront que ça à faire, c'est connu, dans les hostos c'est la glandouille, et puis, ces " renégats " n'ont aucune conscience professionnelle, toujours prêt à distiller leur haine perverse au lieu de penser à panser. Dire que ce Marty qui ne mérite pas le titre de " docteur " nous a abreuvé pendant 2 ans de ses âneries superfétatoires et grandiloquentes digne d'un comics strip.

Donc, ces satrapes susnommés et leurs potes craignant que la réinsertion des personnels non vaccinés envoie un mauvais signal à la majorité qui a fait son devoir. Mouais, est-ce faire son " devoir " que de se plier à un chantage à l'emploi ?

Même le syndicat infirmier s'y met pour tirer sur l'ambulance et montre deux choses :

1. Les infirmiers piqués ne sont pas très confraternels avec leurs ex-collègues appelés par la HAS à revenir dans les établissements de santé.

2. Ils envoient le message sous-jacent selon lequel ils se seraient fait avoir par la politique d'injection forcée et pas les autres, les refuzniks du " vaccin ".

Traduction : on a pris des risques, on s'est fait injecter un produit douteux, et eux ils peuvent revenir sans avoir été punis ! Ce syndicat avoue par son agressivité à l'égard des soignants libres qu'il s'est fait rouler dans la farine, une farine oligarchique à la fois française et européenne.

Trouvé ce titre sur Ebène Magasine histoire de clore :

" Réintégration des non-vaccinés : " Si on ne force plus les soignants, on ne force plus personne. " [iii] Donc, si on comprend bien, les soignants forcés d'être piquousés étaient employés à forcer la main des non-soignants à se faire piquer ?

La parole de fin est pour Karine Lacombe, prêtresse TV, ânonneuse de bad news, accro aux pépettes des labos " Si on ne veut pas se faire vacciner, on change de métier "...C'était un message de la part de docteure compassion.


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