Ils s’enroulent comme des serpents,la queue entre les dents;elles sont comme eux qui sont comme elles:on dirait des œufs blêmesqui se couvent eux-mêmes...Ils sont exhibés, transparents,saturés de leur videtels des amibes aux abîmes,elles marchent seules et se parlantils ne s’entendent plus se taire...Ils s’enroulent en fouleindifférente et solitaire -tristement souriants...