C’est donc le teint halé – autant par le soleil que par le vin du repas du soir - les mollets et les cuisses raffermis, et enrichie d’une citation vue dans un bar breton que je reviens de ces six jours à vélo.
Voici donc cette citation qu’un cafetier de Douarnenez, sans doute un sage, a placé sur le mur derrière le comptoir :
« Si vous n’êtes pas responsable de la gueule que vous avez, vous êtes responsable de la gueule que vous faites. » A méditer pour la rentrée…
* Photos de C. V.