La génuflexion de l’Élysée à l’islam
A) Entre imposture et ignominies, se glissent d’étranges tractations entre l’Exécutif qui trahit les services d’ordre de la Nation face aux faiseurs d’émeutes
Les prétextes controuvés, pour fomenter des émeutes organisées par les communautés islamiques insurrectionnelles, entre réfugiés de papier ou clandestins et communautés islamiques issues de l’immigration, procèdent quasiment toujours d’un même scénario. Pour des motifs aussi peu recevables, que partisans et de mauvaise foi, avec le concours médiatique de l’État-Macron qui inverse les responsabilités, le grand public en oublie qui est le malfaiteur et le devoir impérieux des représentants des forces de l’ordre public de maintenir la sécurité des biens et des personnes. La trame des exactions, sur laquelle des écumeurs de quartiers arabophones assiègent les ZUP, s’organise en bandes de pilleurs, agresseurs, casseurs, junkies et pyromanes. De cette anarchie de violence, il s’en distingue des causes et des effets réitérant, ainsi :
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– Lorsque l’un des leurs, blessé ou mort de son propre fait durant ses actes de vandalisme, maraudage, agression et fuite, ou à la suite d’un rodéo dans les cités péri-urbaines, les populations locales sont mises en danger, appelant par là le secours des forces de l’ordre. Dans la confusion, les policiers accomplissant leur mission de protéger les populations sont rendus responsables. En cherchant à interpeller le dangereux individu, nonobstant le refus du suspect à se soumettre aux injonctions, contrôle d’identité voire d’obtempérer aux semonces, le drame survenant sur la personne du délinquant ou du criminel sera iniquement endossé par la police agissant légitimement dans l’exercice de ses fonctions.
– Parfois, c’est en se tuant eux-mêmes dans leur fuite pour échapper à un contrôle judiciaire, tel fut le cas en octobre 2005, où deux délinquants, Zyed et Bouna trouvèrent la mort en pénétrant en effraction dans un transformateur électrique pour échapper aux forces de l’ordre, que leurs poursuivants exécutant leur devoir se verrons impliqués dans l’accident. Cet accident auto-provoqué par ces jeunes malfaiteurs, déboucha sur trois semaines d’émeutes en réaction depuis leurs coreligionnaires en métropole. Devant la violence et la gravité de la situation nationale, un état d’urgence fut décrété par le Premier ministre en raison de la gravité des émeutes, alors qu’il n’y eut aucun bavure policière.
– Un non-lieu fut prononcé au mois d’avril 2011 en appel contre les policiers injustement incriminés de « Non-assistance à personne en danger ». L’ordonnance cassée en octobre 2012 confirma cette relaxe après l’ultime enquête menée par la Chambre d’instruction de la Cour d’appel de Rennes en septembre 2013. De fait, prétendre que ce furent les policiers qui « obligèrent » les fuyards à pénétrer sur un site EDF interdit et affiché comme hautement dangereux, procède manifestement d’une interprétation partisane malveillante. Ici, la solidarité musulmane exprimée à travers ces émeutes ne saurait se comprendre autrement qu’une manifestation de xénophobie contre la France et d’intolérance cultuelle contre les Français issus du terroir européen historique.
– Ou encore, toujours par suite d’une course poursuite par les forces de l’ordre contre un délinquant multirécidiviste, alcoolisé ou drogué, conduisant une voiture volée sans permis de conduire ni assurance, et ne répondant pas aux sommations, procède de la même ambiguïté, à savoir comment reprocher aux forces de police d’assurer la sécurité des citoyens sans s’exposer à la vindicte communautariste de l’islam, que le laxisme social-démocrate soutient implicitement, en prétendant vouloir calmer le jeu. Or, c’est précisément en soutenant ces provocations contre l’État de droit, que l’arbitraire s’installe en droit prétorien, ouvrant ainsi la voie aux chantages séditieux des émeutiers, lesquels imâms et terroristes, répondent aux prêches des fondamentalistes islamiques. Quid des vraies victimes, entre les civils se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment, et des officiers de police blessés ou abattus par ces voyous qui se réclament d’un culte prétendument supérieur au droit temporel ?
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Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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