Il n’y a plus de doute : Macron, outre le fait qu’il soit un pervers narcissique avec une mentalité d’adolescent attardé, a une propension à muscler ses petits bras devant les faibles et à trembler comme une feuille morte quand un adversaire hausse le ton.
Son gouvernement, remanié ou pas, a été composé à son image : un assemblage d’incompétents qui n’agissent que sur la méchante et souvent barbare pression de la rue. Généralement à contre-courant ! Aujourd’hui, la loi du plus fort, dans tous les domaines, devient la norme, avec un abus de pouvoir bien déterminé qui s’installe à tous les étages de la vie publique. Toujours pour les plus faibles ! En opprimant et en manipulant les plus vulnérables, le pouvoir, en même temps, s’empêche d’engager un affrontement nécessaire envers ceux qui vocifèrent contre la France et qui « foutent le bordel« . Cette attitude opportuniste se révèle, pour la cohésion et la solidarité de toute la société, parfaitement malsaine. Le déséquilibre dans les relations et les interactions sociales atteint dorénavant son paroxysme et l’inversion des valeurs se répercute dans toute la société.
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Macron, ressent-il un besoin de pouvoir parce qu’il aurait un complexe d’infériorité, un manque de confiance en soi ou un désir de se sentir supérieur pour compenser des insécurités personnelles ? Éventuellement, aurait-il peur des représailles ou d’autres affrontements à venir ? Son manque de courage et de fermeté, son inaptitude à prendre les mesures efficaces face aux minorités qui imposent leurs lois (pas du tout républicaines) dans des quartiers dans lesquels la police n’ose plus intervenir tellement cela devient problématique, le paralyse et le rend complètement passif. Évidemment, ne pouvant se résoudre à admettre sa lâcheté et son impuissance, il nous envoie des leurres en nous surjouant une rhétorique guerrière et en nous répétant à trois reprises pour que l’on comprenne bien : « l’ordre, l’ordre, l’ordre« . Pour nous rassurer ? Ou pour donner le change parce qu’il sait que les Français sont en état de défiance à son égard ? Selon un récent sondage CSA, 70 % des Français ne lui font pas confiance pour rétablir l’ordre public…
Sans vigueur contre les délinquants et ne sachant même plus les reconnaître, laissant notre police en pâture aux agresseurs de toutes sortes, Macron est incapable de comprendre la connivence évidente qui s’établit entre l’immigration de masse, les grands frères, les trafiquants de drogue et les émeutiers. Et en ce qui concerne les dernières émeutes qui ont secoué tout le pays, il est difficile de ne pas voir que la part essentielle des réseaux sociaux n’explique pas à elle seule l’organisation « spontanée » qui s’est propagée dans un temps record sur tout le territoire. Où, même les coins les plus reculés ont été touchés. Ce n’est pas le nouveau gouvernement, comme toujours composé de bric et de broc, qui va pouvoir affronter les défis sécuritaires de demain. Surtout quand un ministre en exercice, et pas un des moindres, est renvoyé devant la Cour de justice de la République, pour prise illégale d’intérêts. C’est une première dans toute l’histoire de la République. Que le ministre soit coupable ou innocent, là n’est pas le problème. Mais cela en dit long sur l’agonie de la Cinquième République. En tout cas, on sent la fin d’un cycle, un cycle contrefait par des présidents absents, incompétents et veules. Des ectoplasmes ! Hollande et Macron ont certainement été les pires en n’ayant même pas le courage d’endosser le costume présidentiel. Probablement trop grand pour eux !
Avant qu’il ne soit trop tard, il serait temps de fermer cette parenthèse déplorable.
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