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La génuflexion de l’Élysée à l’islam – 3 –

Publié le 17 août 2023 par Observatoiredumensonge

La génuflexion de l’Élysée à l’islam

Chapitre 3

A) Entre imposture et ignominies, se glissent d’étranges tractations entre l’Exécutif qui trahit les services d’ordre de la Nation face aux faiseurs d’émeutes

Un mois avant les émeutes insurrectionnelles de fin juin à juillet 2023, constituées de hordes musulmanes au comportement d’une violence inouïe propagée sur tout le territoire national, 30 maires des régions arabophones de France avaient prévenu un mois auparavant le Président Macron de l’imminence d’un soulèvement islamique sur tout le territoire, en se servant du moindre prétexte pour déclencher les hostilités. Macron n’en eut cure, car c’est lui qui inonde le pays de cette catégorie de réfugiés. Précisément, sa déconstruction* est en marche. Lors de ces violences urbaines qui auront mis la France à feu et à sang durant dix jours, des milliers de vitrines furent brisées et pillées, des véhicules furent incendiés en nombre incalculable, le mobilier public urbain saccagé et des commissariats investis et vandalisés.

En réponse tardive du chef de l’Élysée, ce dernier se sera une énième fois dédouané en recevant 220 maires le 4 juillet 2023 pour convenir « de solutions d’avenir durables et s’ouvrir au dialogue », contre ces attaques à l’intégrité du pays. Ô paradoxe ! depuis les chefs d’États arabes d’Afrique du Nord au Golfe persique, des semonces comminatoires fusent pour protéger leurs coreligionnaires, alors même que ce sont les Français qui tombent sous les coups de butoir des activistes que ces premiers importent sous l’enseigne de réfugiés sur le territoire français.Le politiquement correct prohibant toute citation quant à la nature islamique de ce fléau indiscutablement identifiable, la bien-pensance ne se risque jamais d’indiquer l’étiologie du mal ; un traumatisme sociétal qui siège pourtant au cœur des préoccupation des citoyens, entre les agressions de cette gangrène invasive et les non-dits des pouvoirs publics !Observons-là une dialectique qui dysfonctionne avec les millions de réfugiés musulmans qui déferlent sur le territoire à un rythme effréné, désormais invités à investir les zones rurales de France, jusqu’ici épargnées par ce fléau communautaire.


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Le chef d’État et son Premier ministre aux ordres, par une pleutrerie qui confine à l’incompétence et une partisannerie calculée, ont soutenu à l’unisson ces vandales contre l’action légitime de la police, sur les dires du Procureur de Nanterre qui osa prétendre « que les conditions de l’usage de l’arme n’étaient pas réunies ». Or, cette déclaration hâtive, partiale car non certifiée par une enquête de terrain qui n’avait pas encore pu être diligentée dans la sérénité et avec discernement, ne pouvait alors reposer que sur les allégations haineuses et partisanes des coreligionnaires du Franco-algérien*. De fait, la vidéo partielle produite par un portable occulta volontairement les échanges qui ont précédé le tir, seulement un contexte qui tronque l’interprétation globale sur la réalité des échanges, à la seule fin d’échauffer les foules excitées à l’affut du moindre prétexte pour déclencher un soulèvement à caractère confessionnel. En prétextant que le chef d’État « devait réfléchir au problème », la bande à Macron, aussi malhonnête que couarde, chercha plutôt à prendre de la distance en se faisant l’avocat de cette délinquance communautaire, où la menace des émeutes nationales fut néanmoins mise à exécution.

Cette réflexion se traduit par un coup d’épée dans l’eau, avec deux textes datés le 7 juillet 2023 :

– En premier lieu avec une loi n° 2023-566 pour lutter contre la haine ; un remake de la loi Avia dont la substance consiste en toile de fond à culpabiliser les Français de souche, mais cette fois pour protéger des mineurs délinquants en prétendant les excuser de la surinformation et des fake news dont ils sont exposés. En faisant pression sur les plateformes en ligne, dans le texte et les images, dont la violence des jeux vidéo dans les annonces, il s’agit pour l’État-Macron de créer une majorité numérique ; ce qui d’un plan juridique ne veut strictement rien dire. Pour lutter contre cette violence urbaine, faudrait-il encore avoir le courage de reconnaître qu’elle est essentiellement issue du contenu haineux du Coran. Cette circonvolution rhétorique ne saurait exclusivement associer les codes graphiques, narratifs ou psychologiques des scénarii ou de jeux virtuels, à dessein d’occulter une réalité pour contrefaire la source réelle de cette violence. L’oligarchie ne veut surtout pas se risquer à fâcher les nonces de l’islam, ce pourquoi ses rédacteurs usent de mystifications, de prolepses et de matoiseries ; autant de figures de style pour au final aboutir à ne rien dire quant à la racine de ce mal-être sociétal, dès lors que le politique se refuse d’appeler un chat un chat, autrement dit d’user de la langue de bois à défaut d’avoir le courage des mots.

– en second lieu avec un décret n° 2023-579, en créant des groupes de mission locale de traitement de délinquance, ce qui ne fait qu’émietter les schémas de l’organisation judiciaire, sans rien opposer de concret contre cette délinquance que l’on ose qualifier, voire d’en radiographier l’ontologie confessionnelle, sinon d’en constater le périmètre géographique, les dégâts et la durée. Quid des mesures répressives adaptées à cette voyoucratie islamique, du maintien de l’ordre et de la protection judiciaire contre les émeutiers ? Aura-t-il fallu l’intervention négociée des Frères musulmans pour stopper net ces émeutes, de la même façon que cette secte islamique l’aura provoqué, entre chantage, menace et capitulation de l’État, comme en concédant une clémence judiciaire contre les faiseurs de troubles aux dépends d’une justice équitable pour les victimes ?

A-t-on déjà vécu autant de pusillanimité de nos élus, lesquelles ne répondent en rien aux problèmes d’exfiltration dans les données administratives par la secte des Frères musulmans. Ce phénomèned’espionnage et de recèle d’informations aura abouti à effrayer directement les familles des forces de l’ordre et de la justice par cette organisation terroriste de l’islam contre la puissance publique. Aucune piste de recherche n’est envisagée dans ces textes rédigés et publiés par l’Exécutif à la suite de cet accident pour rechercher l’origine des fuites quant à la divulgation des adresses postales et des numéros de téléphone des magistrats et policiers, à qui il fut adressé des menaces de mort à leur famille. Pour cette institution judiciaire, cela revient à se défendre contre un ennemi invisible, parce que l’agressé se cache les yeux pour ne pas avoir la volonté d’identifier son agresseur, et encore moins à le réprimer.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


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