Le retour du système D…
Toujours à la pointe de l’ignominie vendue en prêt à l’emploi, LCI avec quelques autres médias obéissants n’hésitent pas à franchir le pas, non pour expliquer le pourquoi, mais pour donner cyniquement le comment survivre en temps de crise imposée par la bande à Macron.
Nous ne sommes plus à ça près mais il faut à minima, en avoir conscience.
Ainsi, entre l’art de couper les cheveux en quatre pour multiplier les pains, en les divisant en plus petits, pour créer l’illusion de la quantité, et l’intoxication écologiste qu’il faut se rabattre sur la farine d’insectes, l’argent disponible doit aller aux impôts, qu’ils soient directs ou indirects, y compris scandaleusement intégrés dans les prix disproportionnés des énergies, au prétexte d’une inflation tout aussi scandaleusement préméditée et organisée pour servir les intérêts des amis…
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En attendant, ce qu’il advient du Français est dramatique qui doit faire des choix de plus en plus souvent, et des arbitrages permanents pour l’administration familiale.
Ainsi apprend-on que des secteurs entiers de l’activité nationale que l’on pourrait considérer comme traitant du superflu, enregistrent des replis majeurs, tel par exemple le secteur de la coiffure dont plus de 7000 salons ont fermé récemment.
Il est certain qu’entre le prix du carburant et celui de l’électricité, qui montent inexorablement d’une part et ceux de la nourriture, d’autre part, qui imposent de serrer la ceinture, le « reste à vivre » cher aux analystes financiers est une notion qui n’est plus relative, nécessité faisant loi.
Osons la franchise et avouons que Macron et les siens ont ruiné la France, en la dépeçant et liquidant ses actifs, toujours au hasard (quoique), aux mêmes amis Mondialistes ou si vous préférez au 1% du monde capitaliste sauvage qui domine tout.
Et le péquin de redécouvrir le système D pour survivre comme durant la guerre dans laquelle nos ennemis qui ont pris le pouvoir nous ont réellement projetés.
La France de Macron, c’est tristement celle-ci!
Gilbert Malaval
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Gilbert Malaval pour Observatoire du MENSONGE
Les malades mentaux
Nous sommes bien obligés de constater que plus la société utilise des outils sophistiqués jusqu’à récemment l’intelligence artificielle, plus le nombre des gens de Bon Sens parait diminuer, et les anormaux foisonner, quand les vraiment détraqués suivent la même courbe qui fait aussi exploser celle des crimes horribles qui resteront impunis, sous couvert d’irresponsabilité.
Comment s’étonner dès lors dans ce contexte en deux maux que les déviances sexuelles et la pédophilie soient presque sur le point d’être légalisées avec l’usage des drogues, souvent consommées en excusant les crimes commis sous leur emprise dont elles devraient à contrario constituer des circonstances aggravantes.
Quand il est devenu de notoriété publique que nos gouvernants sont parmi les membres actifs de ces pratiques et consommations débridées, comment s’étonner que toute la société paraisse en dérive et que l’égoïsme, l’absence d’empathie et de discernement culminent dans un océan de néant, ce qui confine à l’absurde juste à en lire la présente ligne…
Feu les grands sentiments et les grands principes chers à Guy Béart qui chantait ça si bien, ont abandonné le vulgaire péquin recroquevillé sur lui-même par la force des choses et des temps, qui n’a plus le cœur assez grand pour aimer très loin au-delà de lui-même par instinct de survie et sa progéniture, et encore, le cercle familial à cause des divorces se révélant de plus en plus réduit…
Pauvre société aveuglée qui ne sait plus ni aimer ni reconnaître que l’amour de soi-même et qui faute d’idéal se perd dans l’accessoire, le tout bien orchestrée par le Nouvel Ordre Mondial qui ne veut surtout plus d’individus qui réfléchissent et distille de facto du prêt à penser, au gré des circonstances qui feront son affaire.
Les moutons ont remplacé les veaux chers quant à eux au grand Charles, qui les trouveraient de moins en moins catholiques, Aïd désobligeant…
Au moment où nous sommes, et où il y a décidément de drôles d’Indiens tout autour de nous, j’ai décidément la certitude d’être le dernier des Mohicons qui ose l’écrire!
Gilbert Malaval
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Gilbert Malaval pour Observatoire du MENSONGE
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