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Comment gouverner des Gaulois réfractaires ?

Publié le 04 septembre 2023 par Observatoiredumensonge

Voilà la solution : par le mensonge, la peur et l’émotion.
C’est du moins, constamment, ce que nous infligent nos élites.
Pour masquer leurs incompétences ? Probablement ! Quand la chienlit s’installe partout, sur tout le territoire, de telle sorte que plus aucun citoyen ne sait où il habite, il ne reste que l’intimidation, aux incapables qui nous dirigent, pour ressouder un semblant de cohésion sociale. Évidemment, comme à l’école, on sait très bien qu’il est plus facile de maîtriser une classe de quinze élèves qu’une classe de quarante. Surtout quand la moitié est indisciplinée et réfractaire. On peut comprendre ! Il n’en reste pas moins que l’affect n’a jamais résolu aucun problème, et même, qu’il aurait tendance à tout compliquer. Pourtant, nos élites continuent de plus belle à utiliser cette antienne pour faire leur politique à deux balles. Cela explique sûrement ceci : à force de prendre les Français pour des idiots et à rebours, et malgré d’innombrables manipulations grossières, nos gouvernants ne gouvernent plus rien. Ni personne ! Sauf les plus timorés. 

S’il n’y avait que le gouvernement pour nous donner de l’urticaire… La gauche, ce n’est pas mieux ! Cette gauche qui encense le rappeur Médine, qui déteste la police et qui assume son islamo-gauchisme, s’oblige à trouver un nouveau terrain de chasse : elle se délocalise… Dans les banlieues islamisées ! Où elle trouve un électorat potentiellement favorable. Son électoral traditionnel, populaire, ayant filé chez Marine Le Pen, la gauche se raccroche à ce qu’elle peut. Mais a-t-elle conscience qu’elle va se faire dévorer par ces islamistes qui sont les vrais maîtres de ces banlieues ? Qu’ils n’utilisent qu’à des fins stratégiques. Et religieuses ? On peut en douter, les islamistes sont avant tout, même exclusivement, des militants d’un nouvel ordre politique qui se cache derrière une religion. Pour faire passer cette dérive islamo-gauchiste, qu’elle cultive savamment, la gauche applique, tout comme ses homologues au pouvoir, la peur et le catastrophisme. En manipulant des émotions de toutes sortes, les plus bêtes et les plus fades. Qui nous tirent toujours plus vers le bas. 

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Comment les Français peuvent-ils s’y retrouver ? Coincés entre une gauche qui est devenue folle et une droite qui ne sait plus comment faire pour paraître réellement à droite, sinon adroite, ils se débattent entre un engourdissement malsain qui les guette et un délitement politique certain. Mais, malgré la peur que l’on veut leur faire avaler comme une potion magique, ils résistent. Bon an, mal an ! Nos institutions tiendront-elles encore longtemps ou combien de temps encore contre tout ce dépérissement ? Cette peur que l’on nous instille peu à peu, petit à petit, depuis trop longtemps, est un aveu d’échec. De cette manière, comment tout l’édifice social et républicain pourra-t-il tenir ? Et jusqu’à quand ? Vaste question. Pour l’instant, certains s’interrogent sur la possible ou probable victoire de Marine Le Pen en 2027. Pourquoi ? Si les prédictions sont toujours hasardeuses, il n’en reste pas moins que celles-ci annoncent la liquidation du fameux « arc républicain« . Qui a pris du plomb dans l’aile, car tout le monde sait que les Français attendent quelque chose d’autre, quelque chose de neuf et qu’ils n’ont pas encore essayé. À suivre ! 

En attendant, le mensonge, l’émotion et la peur organisent encore notre quotidien. Ce matraquage incessant constitue le plat de résistance auquel s’abreuvent tous les Français. Mais cela devient pesant, pénible et rébarbatif. Comment sortir de ce bourbier ? En présumant sur des élections qui donneraient la majorité au camp national, il faut dès maintenant bien prendre la mesure que pourrait nous donner l’opportunité d’une telle victoire. Bien analyser tous les aspects positifs et négatifs, en pesant le pour et le contre, car rien ne sera facile et rien ne se fera en un claquement de doigts. Préparons-nous, psychologiquement et moralement. Surtout, exigeons désormais que les mensonges, la peur et le catastrophisme, utilisés en politique, soient remisés dans les poubelles de l’histoire. Et que l’émotion soit considérée comme elle doit être : un ressenti individuel, certes louable quand il est à bon escient, mais qui n’a pas sa place dans les débats politiques où la seule attitude pour construire une démarche positive est de toujours garder la tête froide.


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