Magazine Humeur

De terrifiantes réalités 7

Publié le 28 mars 2024 par Observatoiredumensonge

Chapitre 7

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

A – Ce que les vaccins-Covid ont engendré de désastre n’est que le prélude d’expérimentations d’implants nanométriques encore plus effrayantes

Le bâtisseur de la Fondation Bill & Melinda Gates, après avoir été le concepteur génial de Microsoft, fut suspecté par certains commentateurs en ligne, que relaya The Gardian, The conversation, le Gigdata.fr et bien d’autres témoins indiscrets depuis les salons du WEF, d’avoir imaginé l’injection d’un microprocesseur dans le corps de tout être humain sur la Terre, avec bien évidemment la masse de profits que cet inquiétant génie pourrait réaliser par une opération commerciale d’une telle envergure. Avec la vente par milliards de ces nanopuces injectées et encore davantage à venir au rythme des naissances, le renouvellement de ces virus électroniques ferait figure de tonneau des Danaïdes ; une vidange informatique inépuisable de l’espèce humaine ; une révolution comparable à l’avènement des IPhones, après l’Altair Basic et le Mac G4 cube d’Apple.

Ce mouchard nanoscopique, inoculé via une seringue ou implanté dans un organe, la cavité oculaire, un muscle ou sous le derme, aurait pour mission, selon les analystes, de pister les personnes, voire d’entrer par le cortex humain pour en ouvrir leur journal intime. D’autres finalités sont envisageables comme d’inspecter l’état du métabolisme, améliorer ses performances, imprégner l’individu de messages subliminaux jusqu’à manipuler l’activité cérébrale, contrôler les naissances à l’aide d’un régulateur de fécondité, etc. Fini les codes à barres ou les QR code 2D ; chacun portera l’empreinte in extenso de sa trame de vie à travers ses mouvements de trésorerie, de contacts relationnels, des choix sexuels ou de société, ses goûts et affinités depuis le profond des cerveaux sans cesse explorés, vidangés et réinitialisés. Les cortex cérébraux deviendront tout à la fois les réceptacles et les transmetteurs de la part existentielle des individus ainsi connectés à l’antenne 5G la plus proche.

Après le génial mais inquiétant concepteur futuriste Bill Gates, le très fortuné et non moins génial Elon Musk annonce vouloir révolutionner le cerveau humain, afin de le connecter avec un ordinateur. Il s’agirait aussi de capter la pensée et d’insuffler dans le système cérébral de nouvelles fonctions, sinon de les rétablir. Une puce intelligente pourrait cohabiter avec le corps humain, en prenant la main sur son système neurologique moteur, via les cellules grises (neurones et synapses) contenues dans le cortex, la moelle épinière et les os. Pour le public, ou ne pas l’effrayer et contourner ses doutes ou ses inquiétudes légitimes, il s’agirait seulement de restituer la mobilité à des personnes souffrant d’hémiplégie ou de paraplégie.

Saisir votre adresse mail ici


Cette réparation inorganique des personnes atteintes de paralysie serait associée à une chirurgie de confort, dite élective, moyennant des millions de dollars, pour doter le cerveau humain d’une puissance informatique révolutionnaire, extensive ou réparatrice procédant d’une symbiose entre l’IA et les fonctions naturelles intelligentes et motrices de l’organisme humain. La start-up Neuralink d’Elon Musk se pare de bonnes intentions, mais il est aisé d’entrevoir l’écart éthique qui décline entre l’eugénisme thérapeutique de l’eugénisme sélectif. La capacité d’une telle greffe est incommensurable, car elle peut prendre la main sur les individus à leur insu, les conditionner à toutes sortes de missions, voire d’améliorer artificiellement l’espèce sur les plans mécanique et psychique.

Des humains robotisés (non pas des robots humanoïdes) ne seraient même pas physiquement identifiables, car leur apparence n’aurait rien de commun avec des cyborgs, des squelettes bioniques ou des aliènes. Par l’interaction d’une IA dans le corps d’un humain-robot, ses fonctions seraient dotées de pouvoirs imprévisibles, d’intentions méconnaissables puisque télécommandées par faisceau informatique, sous contrôle de personnes susceptibles de manipuler ces organismes à distance. Ces implants cérébraux testés sur des humains ont été annoncés le 25 mai 2023 sur Twitter par Neuralink, l’une des startups avant-gardiste du multimilliardaires susvisé. Il ne s’agit donc plus d’un projet, mais d’une réalité en chemin.

La société californienne précisa que : « Les recrutements de cobayes pour les essais cliniques n’étaient pas encore ouvert », mais il ne s’agit que d’un très court délai avant le passage à l’action. Quelques milliers de dollars devraient suffire à convaincre des candidats pour cette opération réparatrice sur des sujets volontaires. Mais il en faudra beaucoup plus pour ambitionner une intelligence d’une puissance et d’une vitesse informatique ou quantique sans pathologie résiduelle déclarée par le candidat à cette amélioration de son QI, et de ses facultés cérébrales mnémoniques.

Selon l’industriel, l’expérimentation aurait déjà commencé depuis le crâne d’animaux, avec des prototypes de la taille d’une petite pièce de monnaie. Toujours selon la même source d’information, les cobayes simiens implantés, « furent capables de jouer à des jeux vidéo, de taper des mots sur un écran, simplement en suivant des yeux le mouvement du curseur sur le moniteur ». Ces microprocesseurs ont pour finalité honorablement annoncée, de permettre à l’humanité de parvenir à hisser une « symbiose avec l’intelligence artificielle ». Toujours pour se dédouaner, le richissime entrepreneur tenta d’expliquer en 2020 que cette connexion pucée sur un humain aurait pour avantage de ne pas laisser la cybernétique de l’IA dépasser l’homme, voire de prendre son contrôle, dès lors que les implantés deviendraient leurs égaux, voire les maîtres de ces machines intelligentes ou intuitives.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


♣ ♣ ♣

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


♣ ♣ ♣




455 pages d’informations prémonitoires !
Au choix recevez le livre en PDF, à 9,50 € ou achetez-le broché, à 25 €, chez AMAZON


Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine