Magazine Humeur

De terrifiantes réalités 10

Publié le 18 avril 2024 par Observatoiredumensonge

Chapitre 10

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

A – Ce que les vaccins-Covid ont engendré de désastre n’est que le prélude d’expérimentations d’implants nanométriques encore plus effrayantes

Autant dire que la pandémie Covid, fabriquée par des apprentis-sorciers pour le compte du Big Pharma, puis répliquée et prolongée par des vaccins aussi pathologiques que le virus conçu par l’homme, fut un véritable banc d’essai pour leurs instigateurs politiques, les industriels et financiers. Alors que ce carnage virus/vaccins – un crime contre l’humanité – fut passé à la trappe médiatique, et que l’omertà résulte de la culpabilité de bien des acteurs politiques, mais aussi d’un public candide qui en a joué par méconnaissance, désinformation et torpeur, la société aura perdu le contrôle de ses libertés et de ses droits fondamentaux. En se livrant corps et âme à une gestion collectiviste que connaissent déjà des pays comme la Chine, le Viêt Nam, le Laos, Cuba ou la Corée du Nord, le secte WEF et ses thuriféraires préparent en catimini l’absorption mondialiste de la société occidentale, en lien direct avec la référence progressiste du communisme de l’Empire du milieu.

Sous la dictée de gens de science, beaucoup d’acteurs, y compris depuis les universités, sont à la botte des industriels du Big Pharma dont il faut associerles laboratoires de recherche fondamentale et les usines de fabrication de produits pharmaceutiques. Mais le moteur de cette machine à retourner le monde est actionné par l’avidité de pouvoir exacerbé du World Economic Forum qui tire le principal de son énergie dans la puissance financière des immenses fortunes de multimilliardaires. Ceux-là à leur tour se jouent de la cupidité de politiciens sans scrupules près à vendre leur mère pour quelques dollars de plus. Ces puissants complices auront vite réalisé, à travers l’expérience déjà vécue de la crise dite sanitaire, les avantages politiques et financiers qu’ils pourront désormais tirer, par la peur et la contrainte, de ce nouveau mode d’asservissement pour parvenir à matérialiser leurs funestes projets.

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Le matériel qui servira cette industrie du crime dispose d’une panoplie de moyens dissuasif autant que persuasifs :

– Les tests de dépistage qui appellent sans répit aux centres de vaccination,

les certificats de décès trafiqués qui associe toute comorbidité, en particulier dans les Ehpad, à la seule contagion présumée de Covid-19,

– les masques anxiogènes porteurs visibles d’une psychose itérative qui rappellent sans cesse dans la rue et les lieux publics la présence supposée menaçante d’une contagion avec une mort présumée au bout, d’où l’urgence d’une vaccination,

– les mensonges pernicieux récités en boucle sur les écrans Tv, et le pouvoir de l’imposture, ainsi le misanthrope de l’Élysée qui aura régurgité ses mystifications propagandistes durant les trois années d’une pandémie exagérée de 10 à 50 fois selon l’OMS, laquelle aura fait par suite d’amende honorable pour ses mensonges ou son absence de vigilance quant aux chiffres communiqués par les États corrompus ;

 tous ceux-là ensemble, sous l’auspice de la cupidité et du pouvoir, auront peaufiné le travail de lissage, de formatage ou de conditionnement des prospects électoraux (lavés-rincés-essorés), pour convaincre et duper tous les peuples qui n’en finissent jamais de se convaincre vivre en démocratie, et voter selon leur libre-arbitre !

N’est-ce pas ainsi que la crise dite sanitaire en France aura durant trois longues années réussi cet étrange métamorphose sociétale ? Le commutateur de cette mutation fut la peur, un mal funeste instillé sur tous les supports de communication et d’information ; un climat délétère instrumenté par des canulars et des centaines d’ordonnances et de décrets comminatoires. La discriminations initiée par l’imposture oligarchique s’ordonnança avec des lois anticonstitutionnelles et liberticides, au prétexte controuvé de l’urgence et de l’exception. L’arbitraire et l’hypocondrie firent leur travail de déshumanisation, avec des contraintes, des menaces, des interdictions et des châtiments (amende, arrestations et peine de prison ferme). Ce régime de collaboration se servit des citoyens vaccinés pour en faire des vigiles et des autres des pestiférés, licenciés et claquemurés par les mercenaires politiques arrosés de commissions occultes, puis un corps médical stipendié ; tous au service d’un État voyou.

Cette histoire a été vécue et ne doit jamais être oubliée à l’image du nazisme, car c’est dans un tel climat de défiance, de torpeur, de délation, de confiscation du droit d’expression avec la mainmise sur la presse, donc de la répression que naissent sournoisement les dictatures sur fond de régime présidentiel. Viennent ensuite les privations de liberté, le dénuement et la perte de dignité des citoyens, ainsi que la montée en charge d’un climat anxiogène induit par le syndrome d’une guerre, certes vécue ailleurs que dans les tranchées (virus, CO2, Ukraine…). Chacun doit savoir à présent que toute cette gabegie, même si ce ne fut qu’une succession de menteries habillée de félonie et soutenue par une déliquescence mondiale, peut recommencer à tout moment. Les mobiles sont déjà inscrits dans les sombres couloirs de la Commission (UE), ils apparient sous forme de pass-CO2 et d’une guerre en Ukraine, sachant que cette usine à gaz tourne pour tuer des civils en ordre martial, au nom de l’armement et de rivalités géostratégiques. Qui de l’Otan ou de la Russie avalera l’Ukraine en guerre civile depuis 2014 ?

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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