Magazine Humeur

Versac AKA Nicolas machin et ses amis sont KO

Publié le 05 février 2008 par Menye Alain
Les explications tristes et tarabiscotées de celui qu'on présente comme le prince des blogueurs politiques m'ont fait bien marrer, hier soir. Cette "chose" à l'égo surdimensionné a sans doute compris à ses dépends, qu'il peut s'attaquer aux faibles, pas à Allain Jules. Qu'il redescende un peu sur terre et on discutera. Les médias lui ont fait perdre la boule. Je l'ai descendu de son piédestal, au moment même où, ses groupies sollicitent à cor et à cris qu'il leur face l'honneur d'un lien sur son ready-made pourri considéré comme oeuvre d'art.
LES JEREMIADES DE VERSAC LA "CHOSE"
Après ma petite décharge électrique pleine de douceur contre la "chose", son traumatisme l'a conduit à mettre un peu de bémol sur son blog. Il justifie cela par une lassitude généralisée. En réalité, il consulte ses avocats pour voir comment m'empêcher de dire ce que je pense sur ce blog, espace de liberté, pas galvaudée pour un sou mais, dans sa quintessence.
La "chose", laminée, tourmentée, déprimée et complètement cabossée, a envoyé deux de ses amis à la rescousse. Autheil d'abord, dont je découvrais le blog, plutôt sombre et bien rédigé, et un certain Charles Nouÿrit. Cet inconnu au bataillon qui dans le sien, imite Mister "chose" en tuant à son tour la langue de Voltaire m'a fait sursauter. Cette belle phrase tirée de son site en dit long sur le personnage: un trou... "[...]Bien pour l'image de cet Editeur que je considérai(t) comme étant sérieux". Cliquez sur ce lien : >>> J'espère qu'il va rectifier sa grossière faute, une bévue qui lui ressemble sans doute.
Il doit faire son Alain Delon même quand il écrit. Mettre un T devant un verbe conjugué avec le pronom personnel JE, c'est à dire à la première personne du singulier, c'est limite CE2. Soit, il ne relit pas, soit, ce n'est pas lui qui écrit, ou alors, il écrit simplement le son et imagine le reste.....ça doit être l'explication. Nous vérifierons s'il rectifie. Passons.
Il a débarqué chez MOI, menaçant, guidé par le traumatisme subi par son maître à penser et défenseur de pacotille. Ce pauvre petit d'esprit ne sait plus où donner de la tête.
Allain Jules c'est: qui s'y frotte s'y pique. Ils le comprendront bientôt. Certains le savent et rasent les murs en postant ici en anonyme. Il ne faut surtout pas être trouillard quand on me provoque. Résultat des courses: Versac la "chose" a perdu le sommeil. Il ne recommencera pas, probablement. A moins qu'il ne soit téméraire. J'en doute.

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