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Notre démocratie bordélique 41 et 42

Publié le 03 août 2014 par Observatoiredumensonge

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democratie france

  Notre Démocratie bordélique  

Par Pierre Arrault 

41 – DÉMOCRATIE RUINEUSE

Rien que 50 milliards d’intérêts sur la dette !

Trop d’impôts tuent l’impôt !

La dette publique française est constituée par tous les emprunts pris par l’ensemble de l’Etat, des collectivités territoriales et de tous les organismes publics.

Il semblerait que notre chère démocratie française, malgré les atouts de son économie et ses engagements solennels non tenus vis-à-vis de l’Union Européenne ait atteint un niveau d’endettement tel que l’Etat se rapproche petit à petit de la faillite. Non, cela n’est pas dû uniquement au gouvernement actuel mais elle a presque triplé depuis 1995.

La dette publique évaluée fin 2012 à 1833,8 milliards d’euros représentait 90,2 % du PIB. Cette dette était de 663,5 milliards d’euros fin 1995 soit 55,5 % du PIB et atteignait 1 211,6 milliards d’euros (64,2 % du PIB) à fin 2007. Le montant de la dette est actuellement voisin de 1950 milliards pour environ 50 milliards d’intérêts annuels. Le budget 2014, de l’ordre de 300 milliards, ne permet pas de faire face à cette obligation, donc la France emprunte pour payer ses dettes. Ceci veut dire qu’elle subit un système de crédit révolving, elle est obligée d’emprunter aux banques pour payer les intérêts et donc de s’endetter toujours plus, comme nombre de nos concitoyens surendettés.

Notre démocratie est ruinée, au profit des banques et assurances qui prêtent toujours à un taux préférentiel ?. A titre indicatif, voici quelques sociétés françaises ou établies en France qui comptent parmi nos plus importants créanciers : AXA, ALLIANZ, MMA Finance, CM-CIC, BNP Paribas, CNP, MATMUT, etc.

Une solution très socialiste consisterait à nationaliser ce qui peut l’être dans ces banques et assurances, quitte à en spolier les actionnaires comme cela a déjà été fait, par exemple lors de la séparation de l’Eglise et de l’Etat en 1905, puis de confier la gestion de la dette restante à la seule Banque de France. Certes c’est scandaleux, mais le suicide, vers lequel nous entrainent nos gouvernements depuis 40 ans, n’est-il pas plus dangereux pour nos enfants ?

Sinon la seule solution pour le gouvernement est de faire de grosses économies : Baisser le train de vie de l’Etat et des administrations territoriales et organismes publics. A notre avis, ce ne sera pas F. Hollande et son gouvernement de manchots qui prendront les bonnes décisions dans ce sens. Rappelons simplement que ce sont des idéologues utopistes du socialisme et que la seule chose qu’ils font bien, c’est de trouver de nouvelles taxes et impôts à distribuer largement aux immigrés qui n’ont même pas travaillé en France. Cela ne peut qu’amener des mouvements de mécontentements et de révoltes. A bon entendeur !

C’est d’ailleurs ce qui se passe après l’annonce du plan de rigueur de M. Valls : économie de 50 milliards sur trois ans, c’est à dire surendettement annuel de près de 35 milliards. Au lieu de taper sur les petits revenus des bons vieux français, il faut :

1 – stopper net la pompe aspirante de l’immigration dont les bénéficiaires profitent dès l’entrée en France de prestations pour lesquelles ils n’ont ni travaillé ni cotisé.

2 – supprimer les subventions à toutes les associations qui ne participent pas effectivement à l’amélioration de l’économie et de la vie sociale.

3 – supprimer tous les régimes spéciaux de retraite et mettre les fonctionnaires au même pas que les salariés du privé ! Les prétendus droits acquis en la matière ne sont que de la fumée, le gouvernement est bien revenu, entre autres mesures iniques, sur la déduction de 10% pour avoir élevé 3 enfants, à titre rétroactif pour tous les retraités. On n’a pas entendu les syndicats hurler à l’attaque sur la rétroactivité de cette mesure qui touche ceux qui ont liquidé leur retraite depuis plusieurs mois et plusieurs années !

42 – DÉMOCRATIE SÉCURITAIRE ?

SI ! SI ! C’est notre priorité !

   La sécurité présente plusieurs aspects pour lesquels les différents gouvernements ont toujours de gros problèmes, notamment la sécurité des biens et des personnes. Ceci est particulièrement vrai depuis que la gauche a conquis le pouvoir avec des promesses mirifiques qui, hélas, n’ont pas été réalisées. Avant de se pencher sur ce dernier aspect, regardons rapidement quelques autres domaines du mot Sécurité, sans vouloir les examiner tous.

Sécurité sociale : Assise sur quatre branches gérant chacune à la fois la couverture d’un risque et les prestations correspondantes pour les assurés sociaux : branche maladie (maladie, maternité, invalidité, décès) ; branche accidents du travail et maladies professionnelles ; branche vieillesse et veuvage (retraite) ; branche famille (dont handicap, logement…).

Depuis son institution en 1945 et les nombreuses modifications qui ont suivi, la couverture des ayants droit est de moins en moins assurée bien que les cotisations prélevées soient de plus en plus fortes et donc portent atteinte à tous ceux qui ont des revenus modestes.

Si les causes du "trou" de la sécu sont multiples, on peut assurer qu’une de ces causes est due aux prestations de tous ordres largement versées aux envahisseurs venus de l’étranger alors qu’ils n’ont nullement cotisé normalement aux différents régimes dont ils sont cependant bénéficiaires. Mais ne faisons pas de xénophobie, surtout avec la gauche actuellement aux commandes. Notons simplement que le montant des prestations versées à tous ceux qui ont travaillé et cotisé normalement deviennent de plus en plus peau de chagrin. D’ailleurs l’obligation de participer à une mutuelle par le biais de l’entreprise n’est qu’une forme déguisée et pernicieuse d’accroître les cotisations sociales ! sans compter l’imposition supplémentaire de la participation de l’entreprise, comme "revenu" !

Sécurité nationale : C’est la traditionnelle "Défense Nationale" qui doit essentiellement par ses armées (Terre, Air et Mer) garantir l’intégrité du territoire national, avec tous les moyens nécessaires dont la force de dissuasion. Fortement marqués par un antimilitarisme viscéral historique, le socialisme et ses tenants trouvent toujours moyen de diminuer le budget de la Défense Nationale pour tenter de boucher les folles dépenses qu’ils engagent par ailleurs et cela malgré les lois de programmation militaire votées par le parlement. Notre président normal actuel est l’exemple type de cette façon d’agir : on part en guerre au Mali et en Centre Afrique pour peu de temps et d’effectifs, mais cela dure encore et encore. Entre temps on se mêle de la Syrie en porte à faux, mais personne ne veut suivre.

Il faut que les militaires qui commandent menacent de leur démission pour que le gouvernement ne rabote pas un peu plus ce budget.

On pourrait croire que notre président fait tout pour humilier la ‘grande muette’ : Il voudrait, d’après le ministère des anciens combattants, faire défiler l’armée algérienne le 14 juillet. C’est vraiment humilier l’armée et la mémoire de tous ceux qui ont participé aux conflits du Vietnam et d’Algérie, sous le prétexte de commémorer le centenaire du début de la Grande Guerre !

http://www.babelouedstory.com/thema_les/histoire/12051/12051.htm

(long mais à lire jusqu’au bout)

Des algériens et franco-algériens sur les Champs Elysées, avec drapeaux algériens susciteront des manifestations probablement très dures, sachant ce qu’il se passe déjà pour un match de football !

Sécurité industrielle : La France a une excellente tradition de novations techniques, il faut donc protéger les brevets de notre industrie et notre savoir faire technologique donc avoir une politique qui incite les entreprises à rester en France en favorisant leur compétitivité, notamment par l’abaissement des charges qui pèsent sur elles.

Sécurité du travail : La sécurité physique des salariés est prévus dans le code du travail, par l’existence des CHSCT et de la Médecine du travail.

Sécurité des biens et des personnes : Autrement dit Sécurité publique. Compte tenu de l’insécurité croissante depuis des années, tant pour les personnes physiques que pour leurs biens, nous avons assisté depuis l’arrivée du gouvernement à une déferlante de rodomontades et de déclarations tonitruantes visant à nous faire croire à la diminution de ce fléau, et de décisions très laxistes du ministère de la Justice. Les policiers, en général, sont dégoûtés d’arrêter des délinquants (drogue, vols à l’arraché, coups et blessures, etc.) enfin quoi ? de simples incivilités ! Les magistrats les laissent sortir de suite et les forces de l’ordre les retrouvent aussitôt à leurs occupations "inciviles". Merci Mme Taubira de votre souci constant de vider les prisons. Le projet de loi de réforme pénale est la preuve de cette idéologie laxiste.

Voilà une Garde des Sceaux, indépendantiste guyanaise, plaidant pour l’indépendance d’une justice laxiste ! et protégeant les auteurs du MUR des CONS.

Réforme Taubira : Les délinquants plutôt que les victimes, l’idéologie plutôt que la justice. 10 juin 2014 par les 4 vérités

La Réforme Pénale adoptée aujourd’hui à l’Assemblée Nationale est à la fois marquée par l’ignorance des victimes et par un laxisme fautif. Là où les français attendent plus de sécurité, le gouvernement fait voter en 1ere lecture un texte destiné à vider les prisons.

Là où les français demandent légitimement plus de sévérité envers les délinquants, le gouvernement supprime les peines plancher et permet notamment aux auteurs d’agressions sexuelles de se retrouver face à face avec leurs victimes sans passer par la case prison.

Là où les français sont exaspérés par les délinquants multirécidivistes, le gouvernement désarme les magistrats. Dans un pays où 100.000 peines de prison sont en attente d’exécution, chercher à faire échapper à la prison des délinquants est irresponsable.

Le projet de loi Taubira est idéologique, laxiste et dangereux pour la sécurité des français. Il appartient désormais aux Sénateurs de prendre leurs responsabilités et d’écouter nos compatriotes.

L’opposition dont je suis s’est battue avec vigueur contre ce mauvais texte.

Elle devra avoir la même énergie et la même conviction pour réparer et corriger les défaillances commises par la gauche le moment venu.

( par Yannick MOREAU, Député de la Vendée littorale ; Secrétaire national de l’UMP à la réforme de la Justice

Mais notre ex-ministre de l’Intérieur n’est pas non plus exempt d’actions ou de déclarations complètement à côté de la plaque.

mardi 9 octobre 2012

BAC Nord de Marseille : trois commissaires bientôt nommés

Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a annoncé ce mardi que trois nouveaux commissaires vont être nommés à Marseille, suite à la dissolution de la BAC Nord. Le ministre se rendra sur place vendredi prochain.

http://www.franceinfo.fr/justice/actu/article/bac-nord-de-marseille-trois-commissaires-bientot-nommes-194045

Et puis deux ans après :

Bac Nord de Marseille : des écoutes douteuses

Marseille / Publié le Samedi 07/06/2014 à 10H58 par La Provence.com. Un rapport technique relève que les retranscriptions faites par l’IGPN, accablantes pour les policiers, ont été faussées

"Il y a un profond malaise, un sentiment de trahison", avait asséné, la mine grave, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur. "Ils se payaient sur la bête ou prélevaient leur dîme en espèces ou en nature", avait accusé, devant une nuée de caméras, l’ancien procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest, avec un étonnant sens de la mesure. Le magistrat avait même parlé de "gangrène", "de système organisé de vol, de racket et de trafic de drogue". Le coup, violent, lancé en direction des fonctionnaires de la Bac Nord, le 2 octobre 2012, lors des premières interpellations très médiatiques, aurait-il été monté ?

Pour jeter ces hommes en pâture à l’opinion publique, et au passage le discrédit sur l’ensemble de la police marseillaise, ces accusateurs, droits dans leurs bottes, brandissaient les témoignages de policiers au parcours professionnel chaotique mais aussi et surtout une série d’écoutes téléphoniques réalisées par les enquêteurs de l’IGPN, la police des polices. "Elles sont accablantes !", martelait alors le procureur de la République, directement saisi par le préfet de police de l’époque, Alain Gardère.

Sur la foi de ces écoutes notamment, l’équipe de jour de la Bac Nord a volé en éclats et dix-sept fonctionnaires ont été mis en examen pour "vol et extorsion en bande organisée, acquisition et détention de stupéfiants", dont sept placés en détention provisoire plusieurs semaines. Sans attendre l’issue de l’instruction judiciaire (où était la présomption d’innocence ?), l’administration a frappé d’un blâme ou d’une suspension quinze policiers et en a révoqué trois autres. Une décision devenue définitive par un arrêté du ministre de l’Intérieur, signé le 6 janvier dernier. Ce lavage à grandes eaux de la police marseillaise ne pouvait reposer que sur des preuves irréfutables. Ces sévères déclarations ne pouvaient être nourries que par une enquête irréprochable menée par les hommes expérimentés du commissaire Didier Cristini, l’ex-patron de l’IGPN. Seulement voilà : le socle du "scandale de la Bac", la sonorisation de six véhicules de police, semble s’effriter.

Les écoutes téléphoniques étant de mauvaise qualité puisque les micros étaient placés à l’avant, donc près du moteur, deux fichiers ont été soumis à la contre-expertise du Laboratoire d’analyse et de traitement de signal (Lats) de la police scientifique d’Ecully, sur réquisition du patron de l’IGPN. Le comparatif entre le rapport technique du Lats et le PV de retranscription d’une conversation par l’IGPN –deux documents que nous avons pu consulter– est édifiant ! Des mots ayant une référence à l’argent ont été introduits et le décompte des lignes de ce PV fait apparaître que sur 47 lignes relatant les propos des policiers mis en cause, 31 sont inexactes. "Soit 65,95 % !", dénonce Joël Dutto, le père d’un des policiers révoqués.

Des mots ayant une référence à l’argent ont été introduits

Parmi les erreurs les plus flagrantes, "le prod" (produit) se transforme sous la plume de l’IGPN en "pognon", "c’était un bloc" (d’immeuble) devient "ta tune, t’es à bloc" ou encore "et pourtant, si tu chopes les mecs qui ont un kilo" est traduit en "si tu chopes les mecs, il doit y avoir des petits billets de 10 euros… " Des erreurs aux conséquences très lourdes puisque la commission de discipline, présidée par le sous-préfet Jean-René Vacher et à laquelle siégeaient le patron de la sécurité publique, Pierre-Marie Bourniquel, ainsi que celui de la PJ, Christian Sainte, n’aurait pas eu accès au rapport du Lats… "Ce qui est curieux puisque ce rapport technique est signé du 7 août 2012", relève Joël Dutto. Soit, deux mois avant les interpellations et plus d’un an avant le conseil de discipline !

"Lors de ma garde à vue, ils n’arrêtaient pas de me parler de pognon. Quand ils m’ont dit que j’avais été sur écoutes, j’ai été soulagé. Ils allaient entendre la vérité. Mais, ils s’en sont servis pour nous enfoncer. Ils les ont arrangées à leur sauce, ne décolère pas Régis, un des policiers révoqués. Soi-disant, ils sont rigoureux ! " Reconnaissant avoir pris quelques barrettes de shit et les avoir cachées dans un local à côté de son domicile car "à la Bac, on n’a pas de bureau", Régis affirme que son chef était au courant. Ce qui est d’ailleurs confirmé dans les auditions. "Ce n’est pas moi qui ai instauré ces pratiques, poursuit-il. Elles étaient déjà en place depuis bien longtemps quand je suis arrivé à la Bac en avril 2008 !" "J’ai pris un an de suspension parce que j’ai donné deux pochons d’herbe à un informateur. On était déconnecté des réalités administratives mais pénalement, je suis droit dans mes bottes !", martèle Stéphane, devenu… vigile.

Aujourd’hui, ce sont "les révoqués", bannis de la police, "les suspendus" qui se sentent trahis par leur administration, "lâchés par Paris" parce qu'"il fallait couper des têtes" ! "On m’a même refusé l’agrément pour travailler dans la sécurité privée", lâche, Régis, écœuré. La personne chargée de superviser la délivrance de ces agréments n’est autre que le président de la commission de discipline. (Laetitia Sariroglou)

En définitive, nous pensons que la gauche et notamment le ministre de l’Intérieur et des services sont les ‘rois’ (il faut le faire pour des socialistes) de la manipulation des paramètres des statistiques : déclassement en incivilités de nombreux actes délictueux, non prise en compte de plaintes (soit par surcharge, soit par négligence ou sur ordre, etc.).

Ah ! n’oublions pas quand même les actions vigoureuses pour la sécurité publique contre la jeunesse de la mosquée de Poitiers en construction, contre les femmes, enfants et personnes âgées de la Manif pour tous, traités au gaz lacrymogène, contre les ‘veilleurs’ et les porteurs de teeshirt de la Manif pour tous ; n’oublions pas non plus le laxisme pour les casseurs du Trocadéro et les prières publiques dans les rues ou sur les Champs Elysées.

Finalement notre gauche fait de la Sécurité publique en paroles (ah! oui alors) et à géométrie variables de fait, car il s’agit de groupuscules extrémistes, toujours d’extrême droite : jamais de délinquants des banlieues défavorisées; même en flagrant délit de trafic de drogue ou de caillassage des policiers et des pompiers..

C’est peut-être notre gouvernement qui est défavorisé en créativité sécuritaire (pas sur les taxes et impôts !)

Sécurité de l ‘Emploi : Depuis plus de deux ans Flamby et ses sbires nos surinent la baisse prochaine du chômage et l’inversion de sa courbe. Le nombre de chômeurs augmente au fil des mois, et encore les publications ne tiennent pas compte des toutes les personnes sans emploi. Or c’est un des soucis majeurs des français, et on vient de confier le poste de ministre du Travail à un homme qui n’a jamais travaillé en entreprise ! Que c’est beau le socialisme !

Il faut remarquer l’absence trop régulière de répression totale lors des grèves contre ceux qui (piquets de grève) empêchent les non grévistes d’accéder à leur lieu de travail, pourtant ce type de comportement est bien interdit et caractérisé dans le code du Travail. Mais l’application des articles de ce code est très complexe et l’intervention musclée des gros bras de le CGT, par exemple, pour intimider et bloquer les non-grévistes, est beaucoup plus fréquente que l’action légale des forces de l’ordre. Où se trouve alors la sécurité de l’emploi ?

Et on voudrait nous faire croire que la SÉCURITÉ, sous tous ses aspects, est une priorité pour ce gouvernement ?

 
à suivre

Pierre Arrault

arrault

Né en 1938 – Ancien élève de, puis professeur de ‘communication" et relations humaines à l’Ecole de l’Air – 15 ans d’armée comme officier-Pendant 10 ans, responsable de gestion du personnel et chef des affaires sociales et ressources humaines  chez Thomson-CSF et filiale.Ingénieur-Conseil en Recrutement et Ressources Humaines quelques années, puis Professeur de Gestion des Ressources humaines à Paris 13 et autres IUT en région parisienne pendant 10 ans, jusqu’à 65 ans.

Pour information : La démocratie confisquée de Pierre Arrault vient d’être publiée par EDILIVRE.

A lire avant les élections européennes et en vente directement chez l’éditeur.

Capture d’écran 2014-03-13 à 19.56.50

*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier :
Pierre Arrault pour Observatoiredumensonge ou http://observatoiredumensonge.com
Pour tous les mots ou phrases qui sont suivis de ce signe © : vous devez également citer le copyright ci-dessus défini.

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